L'ancien team principal de Ferrari Jean Todt a confirmé qu'il se portera candidat pour la présidence de la FIA le 23 octobre prochain.
Juste 24 heures après que le président sortant Max Mosley ait soutenu Jean Todt comme le candidat idéal pour lui succéder, le Français a confirmé son intention de participer à l'élection.
Il est le deuxième candidat à être en lice pour ce poste, avec l'ancien champion du monde des rallyes Ari Vatanen qui a annoncé sa candidature la semaine dernière.
Parlant de sa décision de se porter candidat et révélant les figures clés derrière lui, Jean Todt a déclaré : « Après la décision de Max Mosley de ne pas chercher un autre mandat et son soutien sans équivoque de ma candidature, j'ai écrit aux membres de la FIA pour les informer que je souhaite me porter candidat à la présidence de la FIA. »
« Il est dans mon intention de continuer et de prolonger le travail en cours du Président Mosley, qui pendant 16 ans a travaillé sans relâche pour renforcer les championnats majeurs de sport automobile de la FIA et de positionner la FIA comme la voix des automobilistes, oeuvrant activement à une mobilité sûre, propre et abordable pour tous. »
« Etant donné la structure unique de la FIA et ses rôles conjoints dans le sport et la mobilité, il faut plus qu'un président pour diriger l'organisation et je suis ravis d'annoncer mon équipe de direction. »
« Pour le poste de vice-président à la mobilité, je proposerais Brian Gibbons, directeur général de l'Association Automobile de Nouvelle-Zélande ; pour le vice-président au sport, je proposerai Graham Stoker, président du Conseil de l'Association des Sports Automobiles du Royaume-Uni ; et pour le président du Sénat, je proposerais Nick Craw, président de l'ACCUS et actuel vice-président de la FIA (au sport). »
« Je suis convaincu qu'ensemble nous offrirons à la FIA l'opportunité d'élire une équipe de direction dynamique d'une grande expérience et d'un grand engagement. »
Max Mosley a révélé sa préférence pour Jean Todt pour lui succéder dans une lettre envoyée aux clubs membres de la FIA ce mercredi, confirmant qu'il quitterait ses fonctions au terme de son mandat en octobre.
« Jean est indubitablement le meilleur manager de sport automobile de sa génération et sans doute de toute génération confondue. S'il est d'accord pour se porter candidat, je pense qu'il serait la personne idéale pour continuer mais aussi prolonger le travail de ces 16 dernières années. Il peut être impliqué dans tous les domaines où la FIA est active. J'espère très sincèrement que vous lui apporterez votre soutien, » a écrit Max Mosley.
La candidature de Jean Todt à la présidence de la FIA est probablement susceptible de générer une controverse en Formule 1 - arrivant juste quelques semaines après que les équipes aient suggéré qu'elles préféreraient un candidat « indépendant » qui n'avait pas de précédents liens avec des équipes.
En outre, il y a eu plusieurs moments tout au long de sa carrière chez Ferrari, en particulier lors des nombreuses controverses sur les consignes d'équipe impliquant Michael Schumacher, où Jean Todt s'est attiré de vives critiques des fans et de la presse pour placer son équipe avant le bien de la Formule 1.
Juste 24 heures après que le président sortant Max Mosley ait soutenu Jean Todt comme le candidat idéal pour lui succéder, le Français a confirmé son intention de participer à l'élection.
Il est le deuxième candidat à être en lice pour ce poste, avec l'ancien champion du monde des rallyes Ari Vatanen qui a annoncé sa candidature la semaine dernière.
Parlant de sa décision de se porter candidat et révélant les figures clés derrière lui, Jean Todt a déclaré : « Après la décision de Max Mosley de ne pas chercher un autre mandat et son soutien sans équivoque de ma candidature, j'ai écrit aux membres de la FIA pour les informer que je souhaite me porter candidat à la présidence de la FIA. »
« Il est dans mon intention de continuer et de prolonger le travail en cours du Président Mosley, qui pendant 16 ans a travaillé sans relâche pour renforcer les championnats majeurs de sport automobile de la FIA et de positionner la FIA comme la voix des automobilistes, oeuvrant activement à une mobilité sûre, propre et abordable pour tous. »
« Etant donné la structure unique de la FIA et ses rôles conjoints dans le sport et la mobilité, il faut plus qu'un président pour diriger l'organisation et je suis ravis d'annoncer mon équipe de direction. »
« Pour le poste de vice-président à la mobilité, je proposerais Brian Gibbons, directeur général de l'Association Automobile de Nouvelle-Zélande ; pour le vice-président au sport, je proposerai Graham Stoker, président du Conseil de l'Association des Sports Automobiles du Royaume-Uni ; et pour le président du Sénat, je proposerais Nick Craw, président de l'ACCUS et actuel vice-président de la FIA (au sport). »
« Je suis convaincu qu'ensemble nous offrirons à la FIA l'opportunité d'élire une équipe de direction dynamique d'une grande expérience et d'un grand engagement. »
Max Mosley a révélé sa préférence pour Jean Todt pour lui succéder dans une lettre envoyée aux clubs membres de la FIA ce mercredi, confirmant qu'il quitterait ses fonctions au terme de son mandat en octobre.
« Jean est indubitablement le meilleur manager de sport automobile de sa génération et sans doute de toute génération confondue. S'il est d'accord pour se porter candidat, je pense qu'il serait la personne idéale pour continuer mais aussi prolonger le travail de ces 16 dernières années. Il peut être impliqué dans tous les domaines où la FIA est active. J'espère très sincèrement que vous lui apporterez votre soutien, » a écrit Max Mosley.
La candidature de Jean Todt à la présidence de la FIA est probablement susceptible de générer une controverse en Formule 1 - arrivant juste quelques semaines après que les équipes aient suggéré qu'elles préféreraient un candidat « indépendant » qui n'avait pas de précédents liens avec des équipes.
En outre, il y a eu plusieurs moments tout au long de sa carrière chez Ferrari, en particulier lors des nombreuses controverses sur les consignes d'équipe impliquant Michael Schumacher, où Jean Todt s'est attiré de vives critiques des fans et de la presse pour placer son équipe avant le bien de la Formule 1.