Avec un point de retard au Championnat au départ de ce Rallye de Grande-Bretagne, Sébastien Loeb savait qu'il fallait sortir la grosse attaque pour aller chercher un sixième titre mondial. « Il y avait un enjeu énorme, une pression énorme », reconnaissait le pilote Citroën. « Il a fallu attaquer au maximum parce qu'on savait tous les deux qu'il n'y avait que ça à faire. Il fallait être devant l'autre, personne ne voulait lâcher. »
Ce sixième titre, est certainement celui qui fut le plus difficile à remporter, Loeb ne s'en cache pas : « C'est clair qu'il a fallu aller le chercher parce que Mikko a été redoutable cette année, particulièrement ici, sur le dernier rallye. On est arrivé quasiment ex-æquo, il fallait être devant l'autre pour gagner le championnat. C'est vraiment fait à la régulière et c'est un gros soulagement quand ça se termine. »
Vendredi soir, au terme de la première étape, Loeb pointait en tête, mais ne comptait que cinq seconde trois d'avance sur Hirvonen. Rien n'était fait ! Au départ de la deuxième étape, c'est avec la ferme intention de faire la différence que Seb reprenait la route. Sur les premiers passages dans Crychan et dans Halfway (ES 8 et 9), Loeb assenait à deux reprises une dizaine de secondes à son rival.
« C'est vrai que je fais un écart énorme dans les deux spéciales de samedi. Le championnat se joue quasiment là, parce qu'après on avait réussi à creuser un petit écart et on a pu le gérer jusqu'au bout du rallye. J'ai tout donné depuis le départ, ça se joue à pas grand chose… Hirvonen devient de plus en plus difficile à battre », reconnaissait Loeb.
A l'heure de faire le bilan, Loeb reconnaît que si le début de saison a été marqué par la réussite - avec cinq victoires consécutives -, la suite s'est avérée plus ardue que prévue : « On revient de loin finalement, parce qu'après l'Australie on voyait que ça devenait compliqué. J'ai tout fait en Australie pour ne pas me retrouver dans cette situation où j'avais besoin de quelqu'un qui m'aide pour gagner. Mais avec notre pénalité, on se retrouve dans une situation où il faut compter sur quelqu'un. On a eu la chance de pouvoir compter sur Sordo qui a fait un super rallye en Espagne, et on s'est retrouvé relancé au départ de cette dernière manche. »
Six titres, cinquante-quatre victoires, Loeb est l'homme des records. Mais ce n'est après ces records que court l'Alsacien : « Il est évident que l'on s'attache aux titres qui s'accumulent, mais quelque part ce n'est pas ma priorité à la base. Ma motivation n'est pas de me dire, ''il faut que je batte tous les records''. C'est juste que j'aime ce que je fais, je prends du plaisir, c'est du sport, ça me plait, je suis dans mon élément. Il est vrai que je suis super heureux d'être parvenu à accomplir tout ce que l'on a fait jusqu'à présent. »
Loeb a l'âme d'un champion, d'un grand champion, pour qui la défaite n'est pas acceptable : « C'est clair que je fais tout pour gagner, je ne supporte pas de perdre. Après il faut un peu de réussite aussi. C'est un ensemble de chose… Je fais de mon mieux, voilà tout ! »
Ce sixième titre, est certainement celui qui fut le plus difficile à remporter, Loeb ne s'en cache pas : « C'est clair qu'il a fallu aller le chercher parce que Mikko a été redoutable cette année, particulièrement ici, sur le dernier rallye. On est arrivé quasiment ex-æquo, il fallait être devant l'autre pour gagner le championnat. C'est vraiment fait à la régulière et c'est un gros soulagement quand ça se termine. »
Vendredi soir, au terme de la première étape, Loeb pointait en tête, mais ne comptait que cinq seconde trois d'avance sur Hirvonen. Rien n'était fait ! Au départ de la deuxième étape, c'est avec la ferme intention de faire la différence que Seb reprenait la route. Sur les premiers passages dans Crychan et dans Halfway (ES 8 et 9), Loeb assenait à deux reprises une dizaine de secondes à son rival.
« C'est vrai que je fais un écart énorme dans les deux spéciales de samedi. Le championnat se joue quasiment là, parce qu'après on avait réussi à creuser un petit écart et on a pu le gérer jusqu'au bout du rallye. J'ai tout donné depuis le départ, ça se joue à pas grand chose… Hirvonen devient de plus en plus difficile à battre », reconnaissait Loeb.
A l'heure de faire le bilan, Loeb reconnaît que si le début de saison a été marqué par la réussite - avec cinq victoires consécutives -, la suite s'est avérée plus ardue que prévue : « On revient de loin finalement, parce qu'après l'Australie on voyait que ça devenait compliqué. J'ai tout fait en Australie pour ne pas me retrouver dans cette situation où j'avais besoin de quelqu'un qui m'aide pour gagner. Mais avec notre pénalité, on se retrouve dans une situation où il faut compter sur quelqu'un. On a eu la chance de pouvoir compter sur Sordo qui a fait un super rallye en Espagne, et on s'est retrouvé relancé au départ de cette dernière manche. »
Six titres, cinquante-quatre victoires, Loeb est l'homme des records. Mais ce n'est après ces records que court l'Alsacien : « Il est évident que l'on s'attache aux titres qui s'accumulent, mais quelque part ce n'est pas ma priorité à la base. Ma motivation n'est pas de me dire, ''il faut que je batte tous les records''. C'est juste que j'aime ce que je fais, je prends du plaisir, c'est du sport, ça me plait, je suis dans mon élément. Il est vrai que je suis super heureux d'être parvenu à accomplir tout ce que l'on a fait jusqu'à présent. »
Loeb a l'âme d'un champion, d'un grand champion, pour qui la défaite n'est pas acceptable : « C'est clair que je fais tout pour gagner, je ne supporte pas de perdre. Après il faut un peu de réussite aussi. C'est un ensemble de chose… Je fais de mon mieux, voilà tout ! »
