Luca di Montezemolo, président de Ferrari, a admis que son équipe avait été préoccupée par le fait que Fernando Alonso ait du mal à courir pour l’écurie avant de signer le contrat du pilote ibérique.
Lors d’un repas de Noël ce vendredi, Luca di Montezemolo a été interrogé sur la réputation et la personnalité de l’Espagnol, mais aussi sur les relations houleuses qu’a eu Fernando Alonso avec McLaren Mercedes.
"J’ai parlé de ces éléments avec [le team principal Stefano] Domenicali peut-être mille fois, pas cent mais mille fois, et j’en ai parlé à Alonso aussi," a précisé Luca di Montezemolo.
"Je lui ai dit : ’Si tu viens conduire une voiture pour nous, tu devras rouler pour l’équipe, conduire pour le groupe et pas seulement pour toi-même’."
"Si tu veux une équipe pour toi, fantastique, tu n’as qu’à faire comme John Surtess. Chez Ferrari, nous tenons à te mettre dans les meilleures conditions pour gagner. Sinon, nous ne te recruterions pas."
Il a également tenu à préciser que Santander, l’un des principaux sponsors de Ferrari, n’avait jamais exigé la présence de Fernando Alonso dans l’équipe comme l’a suggéré un peu plutôt dans la semaine Kimi Raïkkönen.
"Certes, ils [Santander] sont heureux, mais ce n’est pas les sponsors qui choisissent les pilotes, nous n’avons jamais fonctionné comme cela et nous ne le ferons jamais."
Lors d’un repas de Noël ce vendredi, Luca di Montezemolo a été interrogé sur la réputation et la personnalité de l’Espagnol, mais aussi sur les relations houleuses qu’a eu Fernando Alonso avec McLaren Mercedes.
"J’ai parlé de ces éléments avec [le team principal Stefano] Domenicali peut-être mille fois, pas cent mais mille fois, et j’en ai parlé à Alonso aussi," a précisé Luca di Montezemolo.
"Je lui ai dit : ’Si tu viens conduire une voiture pour nous, tu devras rouler pour l’équipe, conduire pour le groupe et pas seulement pour toi-même’."
"Si tu veux une équipe pour toi, fantastique, tu n’as qu’à faire comme John Surtess. Chez Ferrari, nous tenons à te mettre dans les meilleures conditions pour gagner. Sinon, nous ne te recruterions pas."
Il a également tenu à préciser que Santander, l’un des principaux sponsors de Ferrari, n’avait jamais exigé la présence de Fernando Alonso dans l’équipe comme l’a suggéré un peu plutôt dans la semaine Kimi Raïkkönen.
"Certes, ils [Santander] sont heureux, mais ce n’est pas les sponsors qui choisissent les pilotes, nous n’avons jamais fonctionné comme cela et nous ne le ferons jamais."