Troisième étape et troisième victoire française dans la catégorie moto, ce lundi, sur le Dakar 2010 ! Après s'être fait voler la vedette par David Casteu et David Frétigné ce week-end, Cyril Despres s'est emparé des commandes du classement général à la faveur de son succès à Fiambala. Même cause, même effet pour Stéphane Peterhansel, désormais leader de la catégorie auto avec 4'33 d'avance sur Carlos Sainz.
Cyril Despres a assommé la concurrence entre La Rioja et Fiambala.
L'an dernier, la troisième étape du premier Dakar sud-américain de l'histoire lui avait été fatale. Victime de sérieux soucis pneumatiques dans la pampa argentine, Cyril Despres, déjà malmené lors de la première spéciale, avait alors cédé plus d'une heure à son principal concurrent, Marc Coma, finalement sacré deux semaines plus tard. En 2010, la réussite a manifestement changé de camp. Habitués à se partager les honneurs du Dakar depuis 2005, avec deux victoires chacun au compteur, les deux pilotes ont pu constater depuis le départ que la roue avait tourné. Une nouvelle donne dont Cyril Despres a bien pris acte.
Considérée comme "le début des choses sérieuses" par l'organisation, avec au menu les premiers hors piste et notamment un redoutable cordon de dunes blanches d'une trentaine de kilomètres, l'étape du jour a été littéralement survolée par le pilote KTM, vainqueur avec 10'40 d'avance sur le Portugais Helder Rodrigues et 12'13 sur David Casteu. Le fer de lance du team Sherco rendant là les armes au classement général, désormais dominé par un Cyril Despres conforté dans sa position par un matelas de 10'03. Confortable...
Lourdement pénalisé dimanche, à hauteur de 22 minutes, pour ne pas avoir respecté la limitation de vitesse lors de la traversée d'un village, Marc Coma, lui, a encore perdu 21 minutes ce lundi vis-à-vis de son rival français. Trahi par la mécanique de sa KTM, coupable à mi-parcours de coupures moteur, le tenant espagnol du trophée en est quitte dorénavant pour un retard de 42'04 au classement général. Soit l'écart qui existait entre lui et Despres à l'issue de la première spéciale de l'édition 2009. Rien d'insurmontable après seulement trois jours de course mais un sérieux avertissement appelant à une réaction, dès demain, entre Fiambala et Copiapo.
Cyril Despres a assommé la concurrence entre La Rioja et Fiambala.
L'an dernier, la troisième étape du premier Dakar sud-américain de l'histoire lui avait été fatale. Victime de sérieux soucis pneumatiques dans la pampa argentine, Cyril Despres, déjà malmené lors de la première spéciale, avait alors cédé plus d'une heure à son principal concurrent, Marc Coma, finalement sacré deux semaines plus tard. En 2010, la réussite a manifestement changé de camp. Habitués à se partager les honneurs du Dakar depuis 2005, avec deux victoires chacun au compteur, les deux pilotes ont pu constater depuis le départ que la roue avait tourné. Une nouvelle donne dont Cyril Despres a bien pris acte.
Considérée comme "le début des choses sérieuses" par l'organisation, avec au menu les premiers hors piste et notamment un redoutable cordon de dunes blanches d'une trentaine de kilomètres, l'étape du jour a été littéralement survolée par le pilote KTM, vainqueur avec 10'40 d'avance sur le Portugais Helder Rodrigues et 12'13 sur David Casteu. Le fer de lance du team Sherco rendant là les armes au classement général, désormais dominé par un Cyril Despres conforté dans sa position par un matelas de 10'03. Confortable...
Lourdement pénalisé dimanche, à hauteur de 22 minutes, pour ne pas avoir respecté la limitation de vitesse lors de la traversée d'un village, Marc Coma, lui, a encore perdu 21 minutes ce lundi vis-à-vis de son rival français. Trahi par la mécanique de sa KTM, coupable à mi-parcours de coupures moteur, le tenant espagnol du trophée en est quitte dorénavant pour un retard de 42'04 au classement général. Soit l'écart qui existait entre lui et Despres à l'issue de la première spéciale de l'édition 2009. Rien d'insurmontable après seulement trois jours de course mais un sérieux avertissement appelant à une réaction, dès demain, entre Fiambala et Copiapo.