Jarno Trulli constate que la F1 a changé au bénéfice des écuries dites 'privées', et ce sont des équipes efficaces, patientes et bien préparées comme Lotus qui devraient un jour pouvoir mener le bal.
Vu l'exode des manufacturiers automobiles et l'augmentation du nombre d'équipes sur le plateau, dès cette année le spectacle de la Formule 1 sera très majoritairement assuré par des écuries indépendantes. Trulli est d'avis que ce sera le cas pour un bout de temps.
"Mis à part Ferrari, le seul grand constructeur est Mercedes. Nous devons tous nous habituer à la nouvelle F1," explique l'italien parmi les colonnes du quotidien finlandais Turun Sanomat. Il ne mentionne pas Renault, mais puisque la part de propriété du manufacturier français dans son équipe est tombée à 25%, on ne peut plus autant parler d'un effort corporatif.
Sur le sujet de la nouvelle F1, Trulli en fait lui-même partie puisqu'il est maintenant un pilote de la nouvelle écurie Lotus. Il existe un lien avec le constructeur malaisien Proton qui détient la marque Lotus, mais l'écurie agit plutôt comme une indépendante.
Évidemment, quand on se souvient des budgets faramineux de Toyota, son employeur précédent, Trulli se retrouve maintenant dans une équipe dont les moyens sont bien moins importants. Ce fait ne l'inquiète pas, au contraire : "Lotus est plus petite mais au niveau des opérations elle peut être plus efficace que Toyota, même si elle demeure loin de Toyota en termes de ressources."
Si Trulli se réjouit de constater la qualité des installations et la présence d'équipement moderne à l'usine Lotus F1, sans oublier l'existence d'une soufflerie, au sein de l'équipe les attentes ne sont pas grandioses pour 2010. Pas question de se dire que l'on se battra pour des victoires.
"Nous ne nous faisons pas d'illusions, nous nous concentrons sur une saison modeste dans le but de terminer dans les points de temps à autre," indique-t-il dans la Gazetta dello Sport. "Le premier objectif est de redonner de la dignité à une équipe de F1 nommée Lotus. C'est un projet à long-terme de trois à cinq ans."
Vu l'exode des manufacturiers automobiles et l'augmentation du nombre d'équipes sur le plateau, dès cette année le spectacle de la Formule 1 sera très majoritairement assuré par des écuries indépendantes. Trulli est d'avis que ce sera le cas pour un bout de temps.
"Mis à part Ferrari, le seul grand constructeur est Mercedes. Nous devons tous nous habituer à la nouvelle F1," explique l'italien parmi les colonnes du quotidien finlandais Turun Sanomat. Il ne mentionne pas Renault, mais puisque la part de propriété du manufacturier français dans son équipe est tombée à 25%, on ne peut plus autant parler d'un effort corporatif.
Sur le sujet de la nouvelle F1, Trulli en fait lui-même partie puisqu'il est maintenant un pilote de la nouvelle écurie Lotus. Il existe un lien avec le constructeur malaisien Proton qui détient la marque Lotus, mais l'écurie agit plutôt comme une indépendante.
Évidemment, quand on se souvient des budgets faramineux de Toyota, son employeur précédent, Trulli se retrouve maintenant dans une équipe dont les moyens sont bien moins importants. Ce fait ne l'inquiète pas, au contraire : "Lotus est plus petite mais au niveau des opérations elle peut être plus efficace que Toyota, même si elle demeure loin de Toyota en termes de ressources."
Si Trulli se réjouit de constater la qualité des installations et la présence d'équipement moderne à l'usine Lotus F1, sans oublier l'existence d'une soufflerie, au sein de l'équipe les attentes ne sont pas grandioses pour 2010. Pas question de se dire que l'on se battra pour des victoires.
"Nous ne nous faisons pas d'illusions, nous nous concentrons sur une saison modeste dans le but de terminer dans les points de temps à autre," indique-t-il dans la Gazetta dello Sport. "Le premier objectif est de redonner de la dignité à une équipe de F1 nommée Lotus. C'est un projet à long-terme de trois à cinq ans."