Lors du lancement de la F10 à Maranello, Luca di Montezemolo, le président de Ferrari a tendu la main à Valentino Rossi, après de bons essais à Barcelone, et a renouvelé son souhait de pouvoir engager une troisième voiture.
"C'est un potentiel champion du monde de Formule 1, a déclaré Di Montezemolo en parlant de celui qui devrait rester, après la fin de sa carrière, comme le meilleur pilote de moto. C'est un ami, il est d'ici, d'Émilie-Romagne, et c'est grand fan de Formule 1 et de moteur. S'il y avait une possibilité en 2011, s'il voulait le faire, s'adapter et s'entraîner en Formule 1, alors pourquoi pas ?" Rossi a annoncé qu'il se déciderait mi-2010. Il y a bien entendu derrière cette proposition qui attirerait plus encore la lumière sur la Formule 1, l'hypothèse, pour des équipes comme Ferrari d'engager trois voitures.
"Je n'ai pas dit que Ferrari avait besoin de trois voitures, a développé Di Montezemolo. Je connais les griefs des petites équipes. Mais je parle pour l'intérêt de la Formule 1 et pour les potentiels nouveaux arrivants. Si nous leurs remettons une de nos voitures, alors ils pourront peut-être dépenser moins que s'ils la construisaient en partant de zéro. Je serais très heureux de remettre une Ferrari à une équipe américaine, allemande ou australienne pour qu'elle la fasse courir. J'ai demandé à (Stefano) Domenicali de travailler sur cette possibilité pour des équipes comme nous de remettre des voitures à d'autres équipes."
Ferrari n'aura dans doute pas à prêter une F1 à Mercedes et c'est tant mieux car le patron du Petit Cheval cabré n'a toujours pas digéré l'arrivée de Michael Schumacher chez le rival de Stuttgart après 13 ans en rouge. "Tout est de ma faute, s'est flagellé l'Italien. C'est moi qui ai réveillé son désir de courir et, honnêtement, jamais je n'aurais pensé qu'il le ferait ailleurs que chez Ferrari. Il est maintenant un compétiteur. Un adversaire comme les autres. Le fait qu'il emporte avec lui des choses qu'il a vues ici ne m'effraie pas."
"C'est un potentiel champion du monde de Formule 1, a déclaré Di Montezemolo en parlant de celui qui devrait rester, après la fin de sa carrière, comme le meilleur pilote de moto. C'est un ami, il est d'ici, d'Émilie-Romagne, et c'est grand fan de Formule 1 et de moteur. S'il y avait une possibilité en 2011, s'il voulait le faire, s'adapter et s'entraîner en Formule 1, alors pourquoi pas ?" Rossi a annoncé qu'il se déciderait mi-2010. Il y a bien entendu derrière cette proposition qui attirerait plus encore la lumière sur la Formule 1, l'hypothèse, pour des équipes comme Ferrari d'engager trois voitures.
"Je n'ai pas dit que Ferrari avait besoin de trois voitures, a développé Di Montezemolo. Je connais les griefs des petites équipes. Mais je parle pour l'intérêt de la Formule 1 et pour les potentiels nouveaux arrivants. Si nous leurs remettons une de nos voitures, alors ils pourront peut-être dépenser moins que s'ils la construisaient en partant de zéro. Je serais très heureux de remettre une Ferrari à une équipe américaine, allemande ou australienne pour qu'elle la fasse courir. J'ai demandé à (Stefano) Domenicali de travailler sur cette possibilité pour des équipes comme nous de remettre des voitures à d'autres équipes."
Ferrari n'aura dans doute pas à prêter une F1 à Mercedes et c'est tant mieux car le patron du Petit Cheval cabré n'a toujours pas digéré l'arrivée de Michael Schumacher chez le rival de Stuttgart après 13 ans en rouge. "Tout est de ma faute, s'est flagellé l'Italien. C'est moi qui ai réveillé son désir de courir et, honnêtement, jamais je n'aurais pensé qu'il le ferait ailleurs que chez Ferrari. Il est maintenant un compétiteur. Un adversaire comme les autres. Le fait qu'il emporte avec lui des choses qu'il a vues ici ne m'effraie pas."