Stefano Domenicali, le patron de l’équipe Ferrari, assure que son équipe n’est pas en crise après deux courses difficiles.
Lewis Hamilton a dominé à Silverstone et à Hockeheim alors que les pilotes Ferrari ont souffert, mais l’équipe italienne reste confiante. « Même si les deux dernières courses on été négatives, la Scuderia n’est clairement pas en crise, » assure Stefano Domenicali, directeur de la Gestion Sportive.
« L’équipe mène toujours le championnat des constructeurs, et en théorie, un de nos pilotes pourrait être à nouveau en tête du classement des pilotes dimanche soir. Nous avons autant de points que l’an dernier, nous avons remporté la moitié des courses, pris la moitié des poles. »
« Nous ne pensions pas être imbattables après notre victoire au Grand Prix de France, et nous ne pensons pas que tout est perdu après la Grande-Bretagne et l’Allemagne. »
Ferrari a profité des essais de Jerez pour comprendre ce qui n’avait pas fonctionné à Hockenheim. Les pilotes se sont montrés optimistes et Domenicali n’est pas inquiet.
« Toute l’équipe fait de son mieux pour retourner la situation, » précise l’Italien. « Nous avons déjà remontés dans le passé pour finir comme la meilleure équipe à la fin de la saison, en ayant rencontré de plus grandes difficultés que celles que nous avons maintenant. »
« Si on regarde où était Ferrari après dix courses en 2007, aujourd’hui nous sommes dans une bien meilleure position et cette année, il y a une course de plus, ce qui nous donne encore plus d’opportunités de nous battre.
alors on verra en Hongrie
si il y a crise ou pas
Lewis Hamilton a dominé à Silverstone et à Hockeheim alors que les pilotes Ferrari ont souffert, mais l’équipe italienne reste confiante. « Même si les deux dernières courses on été négatives, la Scuderia n’est clairement pas en crise, » assure Stefano Domenicali, directeur de la Gestion Sportive.
« L’équipe mène toujours le championnat des constructeurs, et en théorie, un de nos pilotes pourrait être à nouveau en tête du classement des pilotes dimanche soir. Nous avons autant de points que l’an dernier, nous avons remporté la moitié des courses, pris la moitié des poles. »
« Nous ne pensions pas être imbattables après notre victoire au Grand Prix de France, et nous ne pensons pas que tout est perdu après la Grande-Bretagne et l’Allemagne. »
Ferrari a profité des essais de Jerez pour comprendre ce qui n’avait pas fonctionné à Hockenheim. Les pilotes se sont montrés optimistes et Domenicali n’est pas inquiet.
« Toute l’équipe fait de son mieux pour retourner la situation, » précise l’Italien. « Nous avons déjà remontés dans le passé pour finir comme la meilleure équipe à la fin de la saison, en ayant rencontré de plus grandes difficultés que celles que nous avons maintenant. »
« Si on regarde où était Ferrari après dix courses en 2007, aujourd’hui nous sommes dans une bien meilleure position et cette année, il y a une course de plus, ce qui nous donne encore plus d’opportunités de nous battre.
alors on verra en Hongrie
si il y a crise ou pas