Afin de mettre un terme à la polémique grandissante autour du système de suspension de Red Bull, la Fédération Internationale de l’Automobile a envoyé à toutes les équipes un fax dans lequel elle éclaircissait certains points du règlement sportif.
De son côté, le directeur général de Red Bull Christian Horner a déclaré ne pas se sentir concerné par cette mise au point et a donc assuré que la RB6 ne subira aucun changement d’ordre mécanique d’ici le Grand Prix de Chine, la semaine prochaine.
"La voiture que nous aurons en Chine sera exactement la même d’un point de vue mécanique que lors des trois premières courses," dit-il avant d’ajouter que le rappel à l’ordre de la FIA "n’a absolument aucun effet sur les spécifications de notre voiture."
S’attend-t-il en revanche à ce que d’autres équipes entreprennent des modifications sur leurs monoplaces ?
"Je ne sais pas ce qu’ils ont sur leurs voitures, donc tout ce que je sais c’est que ça n’a aucune incidence sur Red Bull, bien que l’on insinue le contraire."
Comme vous l’aurez remarqué, Horner n’est pas vraiment inquiet de cette situation et il l’est d’autant moins que pour lui, les accusations faites à l’encontre de Red Bull ne sont que le fruit de la jalousie de certains concurrents.
"Fondamentalement, nous avons une voiture rapide. Les gars ont fait du bon boulot et c’est peut-être sur ce genre de choses que les gens portent des accusations lorsque vous êtes compétitifs."
"Mais je le prends comme un compliment. Je suis sûr que si nous nous battions pour la quatorzième place, de telles accusations n’auront pas été formées," insiste le Britannique.
Horner pense cependant que la FIA a bien fait d’apporter une clarification au règlement : "Évidemment, la FIA a senti la nécessité de mettre les choses au clair et je pense qu’ils ont fait exactement ce qu’il fallait car ça évite un développement précipité dans ce domaine qui serait inévitablement coûteux."
"C’est un règlement sensible. Il permet inévitablement aux équipes d’économiser d’énormes quantités d’argent en recherche et développement pour créer de tels systèmes et bien sûr, si quelqu’un en avait un, ce serait en violation directe avec le règlement technique. Nous sommes plus qu’heureux avec le verdict de la FIA, que nous soutenons pleinement," ajoute-t-il.
"Avec ces choses-là, les mots et l’esprit du règlement amènent parfois à différentes interprétations et c’est génial de voir qu’en cette occasion, ça a été clarifié et que toute forme de suspension active est par conséquent illégale."
De son côté, le directeur général de Red Bull Christian Horner a déclaré ne pas se sentir concerné par cette mise au point et a donc assuré que la RB6 ne subira aucun changement d’ordre mécanique d’ici le Grand Prix de Chine, la semaine prochaine.
"La voiture que nous aurons en Chine sera exactement la même d’un point de vue mécanique que lors des trois premières courses," dit-il avant d’ajouter que le rappel à l’ordre de la FIA "n’a absolument aucun effet sur les spécifications de notre voiture."
S’attend-t-il en revanche à ce que d’autres équipes entreprennent des modifications sur leurs monoplaces ?
"Je ne sais pas ce qu’ils ont sur leurs voitures, donc tout ce que je sais c’est que ça n’a aucune incidence sur Red Bull, bien que l’on insinue le contraire."
Comme vous l’aurez remarqué, Horner n’est pas vraiment inquiet de cette situation et il l’est d’autant moins que pour lui, les accusations faites à l’encontre de Red Bull ne sont que le fruit de la jalousie de certains concurrents.
"Fondamentalement, nous avons une voiture rapide. Les gars ont fait du bon boulot et c’est peut-être sur ce genre de choses que les gens portent des accusations lorsque vous êtes compétitifs."
"Mais je le prends comme un compliment. Je suis sûr que si nous nous battions pour la quatorzième place, de telles accusations n’auront pas été formées," insiste le Britannique.
Horner pense cependant que la FIA a bien fait d’apporter une clarification au règlement : "Évidemment, la FIA a senti la nécessité de mettre les choses au clair et je pense qu’ils ont fait exactement ce qu’il fallait car ça évite un développement précipité dans ce domaine qui serait inévitablement coûteux."
"C’est un règlement sensible. Il permet inévitablement aux équipes d’économiser d’énormes quantités d’argent en recherche et développement pour créer de tels systèmes et bien sûr, si quelqu’un en avait un, ce serait en violation directe avec le règlement technique. Nous sommes plus qu’heureux avec le verdict de la FIA, que nous soutenons pleinement," ajoute-t-il.
"Avec ces choses-là, les mots et l’esprit du règlement amènent parfois à différentes interprétations et c’est génial de voir qu’en cette occasion, ça a été clarifié et que toute forme de suspension active est par conséquent illégale."