Qui aurait pu pronostiquer que nous resterions bloqués en Chine à cause d’une éruption volcanique en Islande ?!
Le nuage de cendres parcourant l’Europe bloque depuis quelques jours l’espace aérien, le retour des équipes est pour le moment compromis !
"Tous les vols, à destination ou en provenance d’Europe, sont annulés, nous sommes directement concernés," confirme tôt ce matin Steve Nielsen, Directeur Sportif.
"La situation est que nous somme bloqués, en attendant que le trafic se débloque. Nous entendons des rumeurs comme quoi les aéroports d’Europe du Sud commencent à rouvrir…Trouver des places sur les premiers vols tient du challenge. Toutes les équipes sont logées à la même enseigne."
Alors quelles sont nos possibilités ?! Certaines équipes arriveront à trouver un vol vers des aéroports d’Europe du Sud, mais elles passeront au moins une journée en transit jusqu’à leur destination finale. A l’heure actuelle, une grande partie du réseau ferré est saturé, les billets disponibles partent très vite ! Le réseau autoroutier est une possibilité mais le voyage retour depuis le sud de l’Italie, par exemple, promet d’être très long jusqu’à Enstone !
"Le plus frustrant est la sensation d’impuissance," déclare Steve Nielsen. "Nous continuons d’envisager toutes les options, même celle d’affréter un avion spécial. Par chance la Formule 1 nous impose d’être réactifs, voilà une équation de plus à résoudre et je suis que nous y arriverons ! En étant optimiste, je dirai qu’une partie de l’équipe pourra quitter Shanghai très tôt ce mercredi, maintenant ce n’est pas totalement entre nos mains."
La situation pour les voitures et le frêt est bien différente, l’avion cargo qui nous transporte de part le monde est à Shanghai. Tout le frêt est à l’aéroport et est chargé, on attend le feu vert des autorités.
"C’est assez facile de changer la destination finale du frêt en fonction du développement de la situation en Europe," explique Steve. "Si nous prenons trop de retard, le frêt sera dirigé directement vers Barcelone pour la prochaine course, sans passer par Enstone. Ingénieurs et mécaniciens feront de même si le blocus se prolonge
Le nuage de cendres parcourant l’Europe bloque depuis quelques jours l’espace aérien, le retour des équipes est pour le moment compromis !
"Tous les vols, à destination ou en provenance d’Europe, sont annulés, nous sommes directement concernés," confirme tôt ce matin Steve Nielsen, Directeur Sportif.
"La situation est que nous somme bloqués, en attendant que le trafic se débloque. Nous entendons des rumeurs comme quoi les aéroports d’Europe du Sud commencent à rouvrir…Trouver des places sur les premiers vols tient du challenge. Toutes les équipes sont logées à la même enseigne."
Alors quelles sont nos possibilités ?! Certaines équipes arriveront à trouver un vol vers des aéroports d’Europe du Sud, mais elles passeront au moins une journée en transit jusqu’à leur destination finale. A l’heure actuelle, une grande partie du réseau ferré est saturé, les billets disponibles partent très vite ! Le réseau autoroutier est une possibilité mais le voyage retour depuis le sud de l’Italie, par exemple, promet d’être très long jusqu’à Enstone !
"Le plus frustrant est la sensation d’impuissance," déclare Steve Nielsen. "Nous continuons d’envisager toutes les options, même celle d’affréter un avion spécial. Par chance la Formule 1 nous impose d’être réactifs, voilà une équation de plus à résoudre et je suis que nous y arriverons ! En étant optimiste, je dirai qu’une partie de l’équipe pourra quitter Shanghai très tôt ce mercredi, maintenant ce n’est pas totalement entre nos mains."
La situation pour les voitures et le frêt est bien différente, l’avion cargo qui nous transporte de part le monde est à Shanghai. Tout le frêt est à l’aéroport et est chargé, on attend le feu vert des autorités.
"C’est assez facile de changer la destination finale du frêt en fonction du développement de la situation en Europe," explique Steve. "Si nous prenons trop de retard, le frêt sera dirigé directement vers Barcelone pour la prochaine course, sans passer par Enstone. Ingénieurs et mécaniciens feront de même si le blocus se prolonge