Luca di Montezemolo quitte la présidence du constructeur italien Fiat, et c'est John Elkann, un descendant de la famille fondatrice Agnelli, qui lui succède.
L'Italien reste le président de Ferrari et explique avoir "accompli les tâches" qu'il avait entamé en 2004. Luca di Montezemolo dément que ce soit un mouvement préalable à son entrée en politique et à la fondation de son parti, il insiste qu'il reste membre du conseil Fiat et continue de diriger Ferrari.
Le même jour, il réitère sa volonté que "les équipes de pointe" comme Ferrari "et McLaren" puissent inscrire une troisième monoplace en grand prix.
"Nous voulons une troisième voiture et je vais tout faire pour avoir Valentino (Rossi). Il va gagner en MotoGP cette année et c'est assez, il doit aussi gagner en Formule Un," explique le président de Ferrari aux journalistes.
L'Italien reste le président de Ferrari et explique avoir "accompli les tâches" qu'il avait entamé en 2004. Luca di Montezemolo dément que ce soit un mouvement préalable à son entrée en politique et à la fondation de son parti, il insiste qu'il reste membre du conseil Fiat et continue de diriger Ferrari.
Le même jour, il réitère sa volonté que "les équipes de pointe" comme Ferrari "et McLaren" puissent inscrire une troisième monoplace en grand prix.
"Nous voulons une troisième voiture et je vais tout faire pour avoir Valentino (Rossi). Il va gagner en MotoGP cette année et c'est assez, il doit aussi gagner en Formule Un," explique le président de Ferrari aux journalistes.