Selon Mark Webber, le dépassement de Fernando Alonso en Chine sur son coéquipier Felipe Massa était "incroyablement risqué".
Le pilote australien Mark Webber est un ami du double champion du monde espagnol, pour autant il n'approuve pas la manoeuvre de Fernando Alonso à l'entrée des puits.
"C'était très dur envers son équipier, moralement, mais aussi incroyablement risqué et très opportuniste," explique le pilote Red Bull.
"C'était aussi mêlant pour l'équipe, qui a dû inverser les pneus rapidement. Et j'aurais eu du mal à me promener dans l'usine après avoir sorti les deux voitures à l'entrée de la ligne des puits. C'aurait été une affaire sérieuse et difficile à faire avaler. Mais finalement ça s'est bien passé et Fernando l'a emporté," conclut Mark Webber.
La semaine passée, Fernando Alonso refusait que son geste ait de quelconques répercutions.
"Ce qui est fou c'est que deux semaines après les gens parlent encore de ce sujet pas important, donc je refuse de commenter," indiquait l'Espagnol dans le quotidien Marca.
Et lors d'une entrevue avec la publication italienne Corriere della Sera, interrogé s'il referait une telle manoeuvre sachant toute la controverse que ça a créé, Fernando Alonso répond : "Oui absolument."
Le pilote australien Mark Webber est un ami du double champion du monde espagnol, pour autant il n'approuve pas la manoeuvre de Fernando Alonso à l'entrée des puits.
"C'était aussi mêlant pour l'équipe, qui a dû inverser les pneus rapidement. Et j'aurais eu du mal à me promener dans l'usine après avoir sorti les deux voitures à l'entrée de la ligne des puits. C'aurait été une affaire sérieuse et difficile à faire avaler. Mais finalement ça s'est bien passé et Fernando l'a emporté," conclut Mark Webber.
La semaine passée, Fernando Alonso refusait que son geste ait de quelconques répercutions.
"Ce qui est fou c'est que deux semaines après les gens parlent encore de ce sujet pas important, donc je refuse de commenter," indiquait l'Espagnol dans le quotidien Marca.
Et lors d'une entrevue avec la publication italienne Corriere della Sera, interrogé s'il referait une telle manoeuvre sachant toute la controverse que ça a créé, Fernando Alonso répond : "Oui absolument."