robert kubica ne fait aucun pronostic sur les chances de la Renault R30 à Monaco mais a hâte de s'y retrouver, à partir de jeudi.
"J'ai toujours aimé les circuits urbains et surtout Monaco, où j'ai toujours obtenu de bons résultats", a déclaré le Polonais dans un communiqué de presse de Renault, après sa 8e place à Barcelone. "En ce qui concerne la voiture, Monaco présente des aspects positifs et négatifs. Il sera difficile d'avoir une idée précise concernant notre compétitivité avant les essais libres de jeudi. Aussi, comme on a pu le voir à Barcelone, la séance de qualifications sera une partie déterminante du week-end car dépasser est encore plus difficile à Monaco qu'ailleurs. Si on veut marquer de gros points, il faudra se qualifier en haut de la grille et éviter toute erreur."
"Je pense que le défi sera encore plus grand cette année avec le plein d'essence car les voitures sont automatiquement moins vives. Avant, on prenait le tunnel à fond mais avec la charge d'essence, je pense que le challenge sera beaucoup plus relevé."
Kubica était monté sur le podium en 2008 et il connaît très bien ce tracé : "Un bon équilibre châssis est indispensable à Monaco. La monoplace doit être réglée souple car le circuit est très serré et la surface est bosselée. Une fois la voiture équilibrée, on peut réellement pousser jusqu'à la limite et passer les virages à quelques centimètres seulement des rails. Contrairement à la majorité des circuits modernes, il n'y a pas de marge d'erreur possible à Monaco et il faut à tout moment tenir compte des rails car il n'y a que très peu de dégagements pour prendre large".
"Le Grand Prix de Monaco est une course très exigeante pour les pilotes - pas physiquement mais mentalement. On est constamment dans un virage et proche des murs. La plupart des circuits présentent une ligne droite qui nous permet de reprendre notre souffle pour quelques secondes mais à Monaco on est perpétuellement sous pression."
"Comme pour la plupart des circuits urbains, les dépassements en Principauté sont quasi impossibles. Une des raisons, c'est le faible niveau d'adhérence et, même si le circuit s'améliore au fur et a mesure dans ce secteur, il faut rester en permanence sur la trajectoire. Un grand nombre de zones de freinages sont bosselées et, à moins de commettre une erreur, il est impossible que quelqu'un vous dépasse."
"Le premier virage est un des seuls endroits du tour où il y a un peu de dégagement et on peut souvent y voir les voitures prendre large. Bien négocier ce virage est très délicat et le premier tour est particulièrement serré, surtout lorsqu'on débute la course en bas de la grille car on se retrouve dans une sorte d'entonnoir à Ste Dévôte."
Le tunnel est la section du tour la plus rapide. On le prenait à fond mais cette année, il sera plus difficile à négocier avec les lourdes charges d'essence en première partie de course. En fait, tout le tour sera plus difficile. Avec le niveau d'essence embarqué, la voiture sera moins réactive.
La Piscine (virages 13 et 14) est une partie du tour où il est nécessaire d'avoir une voiture bien équilibrée. C'est une section très rapide, prise en cinquième vitesse et où il faut attaquer les vibreurs et changer de direction très rapidement. C'est une partie très excitante mais il est facile de mal faire rebondir la voiture et si ce secteur est mal négocié, on ne peut pas échapper aux barrières.
"J'ai toujours aimé les circuits urbains et surtout Monaco, où j'ai toujours obtenu de bons résultats", a déclaré le Polonais dans un communiqué de presse de Renault, après sa 8e place à Barcelone. "En ce qui concerne la voiture, Monaco présente des aspects positifs et négatifs. Il sera difficile d'avoir une idée précise concernant notre compétitivité avant les essais libres de jeudi. Aussi, comme on a pu le voir à Barcelone, la séance de qualifications sera une partie déterminante du week-end car dépasser est encore plus difficile à Monaco qu'ailleurs. Si on veut marquer de gros points, il faudra se qualifier en haut de la grille et éviter toute erreur."
"Je pense que le défi sera encore plus grand cette année avec le plein d'essence car les voitures sont automatiquement moins vives. Avant, on prenait le tunnel à fond mais avec la charge d'essence, je pense que le challenge sera beaucoup plus relevé."
Kubica était monté sur le podium en 2008 et il connaît très bien ce tracé : "Un bon équilibre châssis est indispensable à Monaco. La monoplace doit être réglée souple car le circuit est très serré et la surface est bosselée. Une fois la voiture équilibrée, on peut réellement pousser jusqu'à la limite et passer les virages à quelques centimètres seulement des rails. Contrairement à la majorité des circuits modernes, il n'y a pas de marge d'erreur possible à Monaco et il faut à tout moment tenir compte des rails car il n'y a que très peu de dégagements pour prendre large".
"Le Grand Prix de Monaco est une course très exigeante pour les pilotes - pas physiquement mais mentalement. On est constamment dans un virage et proche des murs. La plupart des circuits présentent une ligne droite qui nous permet de reprendre notre souffle pour quelques secondes mais à Monaco on est perpétuellement sous pression."
"Comme pour la plupart des circuits urbains, les dépassements en Principauté sont quasi impossibles. Une des raisons, c'est le faible niveau d'adhérence et, même si le circuit s'améliore au fur et a mesure dans ce secteur, il faut rester en permanence sur la trajectoire. Un grand nombre de zones de freinages sont bosselées et, à moins de commettre une erreur, il est impossible que quelqu'un vous dépasse."
"Le premier virage est un des seuls endroits du tour où il y a un peu de dégagement et on peut souvent y voir les voitures prendre large. Bien négocier ce virage est très délicat et le premier tour est particulièrement serré, surtout lorsqu'on débute la course en bas de la grille car on se retrouve dans une sorte d'entonnoir à Ste Dévôte."
Le tunnel est la section du tour la plus rapide. On le prenait à fond mais cette année, il sera plus difficile à négocier avec les lourdes charges d'essence en première partie de course. En fait, tout le tour sera plus difficile. Avec le niveau d'essence embarqué, la voiture sera moins réactive.
La Piscine (virages 13 et 14) est une partie du tour où il est nécessaire d'avoir une voiture bien équilibrée. C'est une section très rapide, prise en cinquième vitesse et où il faut attaquer les vibreurs et changer de direction très rapidement. C'est une partie très excitante mais il est facile de mal faire rebondir la voiture et si ce secteur est mal négocié, on ne peut pas échapper aux barrières.