Jenson Button affirme que gagner à Monaco tient de l'ambition ultime pour tout pilote.
"Je pense que chaque pilote sera d'accord avec moi : c'est la première course que vous aimeriez gagner en F1", a déclaré Button à la veille des premiers essais. "Gagner l'an dernier a été un des moments forts de ma saison, et aussi de toute ma carrière. C'est une course que vous regarder quand vous êtes gosse. Vous connaissez le circuit, chaque coin de rue par cœur, avant que vous n'ayez jamais conduit là-bas."
"Après avoir gagné l'année dernière, j'ai garé ma voiture au mauvais endroit et j'ai dû faire 300 mètres pour aller au podium. Un peu embarrassant mais les plus beaux 300 mètres que j'aie couru, avec toutes les équipes qui m'applaudissaient quand je remontait le paddock."
"Monaco, c'est un peu comme faire du go-kart dans votre salon. À chaque tour, c'est plus difficile, on dirait que les murs se rapprochent. Mentalement, ça vide. Le sentiment quand je suis sur le podium et que je brandis le trophée au-dessus de moi était très spécial. Il y avait beaucoup de bruit. Mais soudain, quand j'ai aperçu les mécanos, il y a eu comme un silence dans ma tête, comme si on avait coupé le son."
Button habite près de l'épingle du Loews et bien qu'il connaisse l'endroit parfaitement, il estime que conduire à Monaco est quelque chose pour lequel on ne peut pas vraiment se préparer. "Même si j'ai couru pendant de nombreuses années, la sensation de vitesse lorsque vous prenez la montée après le premier virage est quelque chose qu'on ne peut jamais totalement anticiper. L'accélération est incroyable, et les murs sont si proches...."
"Je pense que chaque pilote sera d'accord avec moi : c'est la première course que vous aimeriez gagner en F1", a déclaré Button à la veille des premiers essais. "Gagner l'an dernier a été un des moments forts de ma saison, et aussi de toute ma carrière. C'est une course que vous regarder quand vous êtes gosse. Vous connaissez le circuit, chaque coin de rue par cœur, avant que vous n'ayez jamais conduit là-bas."
"Après avoir gagné l'année dernière, j'ai garé ma voiture au mauvais endroit et j'ai dû faire 300 mètres pour aller au podium. Un peu embarrassant mais les plus beaux 300 mètres que j'aie couru, avec toutes les équipes qui m'applaudissaient quand je remontait le paddock."
"Monaco, c'est un peu comme faire du go-kart dans votre salon. À chaque tour, c'est plus difficile, on dirait que les murs se rapprochent. Mentalement, ça vide. Le sentiment quand je suis sur le podium et que je brandis le trophée au-dessus de moi était très spécial. Il y avait beaucoup de bruit. Mais soudain, quand j'ai aperçu les mécanos, il y a eu comme un silence dans ma tête, comme si on avait coupé le son."
Button habite près de l'épingle du Loews et bien qu'il connaisse l'endroit parfaitement, il estime que conduire à Monaco est quelque chose pour lequel on ne peut pas vraiment se préparer. "Même si j'ai couru pendant de nombreuses années, la sensation de vitesse lorsque vous prenez la montée après le premier virage est quelque chose qu'on ne peut jamais totalement anticiper. L'accélération est incroyable, et les murs sont si proches...."