Un peu plus de 24 heures après le hara-kiri turc de Red Bull, la majorité des pilotes s'étant exprimé sur l'incident estime que la responsabilité revient à Sebastian Vettel.
Les images de ce freinage qui a ruiné la course de l'écurie de Milton Keynes ont bien entendu fait le tour du paddock et dès dimanche soir tout le monde avait son opinion sur qui n'avait pas laissé la place à l'autre.
Si Christian Horner, le patron de Red Bull, ne s'est évidemment pas prononcé publiquement, ce n'est pas le cas de quelques personnalités. Témoin n°1 de l'incident, il était juste derrière des deux RB6 au moment où elles se sont percutées, Lewis Hamilton n'a pas hésité au moment de commenter. "Où Mark pouvait-il aller ?", questionne le vainqueur de la course. "Je pense que la place qu'il a laissée était assez grande."
"Mark n'est pas sorti de sa trajectoire. Pour moi, c'est la faute de Sebastian", ajoutait Nico Rosberg (Mercedes). Pour Niki Lauda, consultant de la télévision allemande, "Vettel a été trop agressif".
Lui aussi consultant et ancien pilote Benetton, Alexander Wurz n'hésite pas non plus : "Tous les pilotes que je connais et moi-même sommes d'accord pour dire que c'est la faute de Vettel".
Ces paroles d'experts auraient tendance à faire passer la neutralité de Horner pour du favoritisme, ce que veut absolument éviter l'intéressé, qui prendra bonne note de l'avis de Peter Sauber : "Pour un patron d'écurie, ce type de situation est un cauchemar". Mais tous y ont droit un jour.
L'approche quelques peu novatrice et détendue en surface de Red Bull par rapport à la F1 n'aura donc pas préservé longtemps l'écurie propriété de la boisson énergisante.
"La chose la plus importante - et j'ai connu cette situation dans plusieurs formule auparavant - et de mettre les problèmes sur la table et non de les garder pour soi. Et ensuite de les régler. C'est exactement ce que nous sommes en train de faire", a déclaré Horner à Autosport. "Il n'existe pas d'animosité entre les pilotes Ils sont tous les deux compétitifs. Ils ont tous les deux faim de victoire et notre travail va être de nous assurer qu'ils ont retenu la leçon."
Red Bull a aussi certainement quelques enseignements à tirer de l'histoire. C'est bien l'écurie et non pas les pilotes que Ross Brawn montre du doigt, en stratège ayant une certaine expérience de la gestion de deux coéquipier au sein de l'équipe qui domine le Championnat. "Tout dépend des consignes qui sont données avant la course", a déclaré l'actuel patron de Mercedes à Die Welt. "Bien sûr, le but est de faire la course. Mais il y a des règles qu'il faut communiquer aux pilotes."
Les images de ce freinage qui a ruiné la course de l'écurie de Milton Keynes ont bien entendu fait le tour du paddock et dès dimanche soir tout le monde avait son opinion sur qui n'avait pas laissé la place à l'autre.
Si Christian Horner, le patron de Red Bull, ne s'est évidemment pas prononcé publiquement, ce n'est pas le cas de quelques personnalités. Témoin n°1 de l'incident, il était juste derrière des deux RB6 au moment où elles se sont percutées, Lewis Hamilton n'a pas hésité au moment de commenter. "Où Mark pouvait-il aller ?", questionne le vainqueur de la course. "Je pense que la place qu'il a laissée était assez grande."
"Mark n'est pas sorti de sa trajectoire. Pour moi, c'est la faute de Sebastian", ajoutait Nico Rosberg (Mercedes). Pour Niki Lauda, consultant de la télévision allemande, "Vettel a été trop agressif".
Lui aussi consultant et ancien pilote Benetton, Alexander Wurz n'hésite pas non plus : "Tous les pilotes que je connais et moi-même sommes d'accord pour dire que c'est la faute de Vettel".
Ces paroles d'experts auraient tendance à faire passer la neutralité de Horner pour du favoritisme, ce que veut absolument éviter l'intéressé, qui prendra bonne note de l'avis de Peter Sauber : "Pour un patron d'écurie, ce type de situation est un cauchemar". Mais tous y ont droit un jour.
L'approche quelques peu novatrice et détendue en surface de Red Bull par rapport à la F1 n'aura donc pas préservé longtemps l'écurie propriété de la boisson énergisante.
"La chose la plus importante - et j'ai connu cette situation dans plusieurs formule auparavant - et de mettre les problèmes sur la table et non de les garder pour soi. Et ensuite de les régler. C'est exactement ce que nous sommes en train de faire", a déclaré Horner à Autosport. "Il n'existe pas d'animosité entre les pilotes Ils sont tous les deux compétitifs. Ils ont tous les deux faim de victoire et notre travail va être de nous assurer qu'ils ont retenu la leçon."
Red Bull a aussi certainement quelques enseignements à tirer de l'histoire. C'est bien l'écurie et non pas les pilotes que Ross Brawn montre du doigt, en stratège ayant une certaine expérience de la gestion de deux coéquipier au sein de l'équipe qui domine le Championnat. "Tout dépend des consignes qui sont données avant la course", a déclaré l'actuel patron de Mercedes à Die Welt. "Bien sûr, le but est de faire la course. Mais il y a des règles qu'il faut communiquer aux pilotes."