En Turquie pour son 800ème Grand Prix, Ferrari avait bu la tasse en plaçant péniblement Fernando Alonso et Felipe Massa en septième et huitième positions.
Deux semaines plus tard, l’écurie de Maranello se rendait au Canada sans la moindre nouveauté sur ses monoplaces.
Beaucoup d’observateurs s’attendaient à les voir souffrir mais il n’en fut rien puisqu’en qualifications ainsi qu’en course, Alonso est venu jouer les trouble-fêtes entre les McLaren et les Red Bull.
Aujourd’hui, le F1 Circus se prépare pour le Grand Prix d’Europe, qui se déroulera à Valence dans un peu plus d’une semaine. Et Ferrari a prévu d’y introduire une très grosse mise à jour sur sa monoplace, on parle même d’une version B de la F10, incluant un nouveau système d’échappements d’inspiration Red Bull.
Dans les paddocks, on parle de ce nouveau package comme celui de la dernière chance pour la marque au cheval cabré. Mais Alonso rappelle que Ferrari possède une réactivité hors pair et qu’elle n’a pas l’intention de laisser tomber la lutte pour le titre alors qu’on n’est pas encore à la mi-saison.
"Nous aurons d’importantes nouveautés sur la F10 qui, je l’espère, nous permettront d’élever notre niveau de performances. Suite à cela, nous avons d’autres développements en cours qui devraient arriver pour l’Angleterre et l’Allemagne," indique-t-il.
"Le Grand Prix d’Europe n’est que la neuvième manche du championnat et ce n’est pas le dernier effort pour Ferrari, ce que j’ai entendu dire. Je ne vois pas comment les gens peuvent dire ça étant donné que nous n’avons même pas atteint la mi-saison et qu’après Valence, il y aura encore dix Grands Prix à disputer."
"Je l’ai déjà dit et je vais le redire, c’est une étape et la dernière de ces étapes n’arrivera pas avant novembre, à Abu Dhabi. Il y a encore un long chemin à parcourir et les choses peuvent très vite changer et aller dans un sens ou dans un autre."
"Les gens semblent avoir oublié que l’année dernière, au milieu de la saison et dans une voiture qui était encore moins compétitive, Kimi (Räikkönen, nldr) était le pilote qui avait marqué le plus de points," rappelle le natif d’Oviedo.
Alonso estime par ailleurs que la compétitivité affichée par Ferrari sur le circuit Gilles Villeneuve à Montréal, où il est monté sur la troisième marche du podium, est le réel niveau de forme de l’équipe italienne, le Grand Prix de Turquie faisant figure d’exception.
"Nous étions de retour où nous avons été à pratiquement toutes les autres courses, la seule exception étant la Turquie où, pour diverses raisons, tout s’est mal déroulé à tous points de vue. La situation normale est celle que nous avons vu à Montréal, à Monaco, à Melbourne, à Sakhir et sur tous les autres circuits où nous nous sommes battus pour une arrivée sur le podium."
"Peut-être que les résultats ne correspondaient pas toujours à notre potentiel, mais je pense qu’on peut dire la même chose pour toutes les meilleures équipes. Sur ces huit premières courses de la saison, toutes sortes de choses sont arrivées - erreurs, problèmes de fiabilité, malchance - mais nous sommes toujours en lice pour les deux championnats. On peut dire la même chose de McLaren et Red Bull, qui ont également manqué des points en cours de route.
Deux semaines plus tard, l’écurie de Maranello se rendait au Canada sans la moindre nouveauté sur ses monoplaces.
Beaucoup d’observateurs s’attendaient à les voir souffrir mais il n’en fut rien puisqu’en qualifications ainsi qu’en course, Alonso est venu jouer les trouble-fêtes entre les McLaren et les Red Bull.
Aujourd’hui, le F1 Circus se prépare pour le Grand Prix d’Europe, qui se déroulera à Valence dans un peu plus d’une semaine. Et Ferrari a prévu d’y introduire une très grosse mise à jour sur sa monoplace, on parle même d’une version B de la F10, incluant un nouveau système d’échappements d’inspiration Red Bull.
Dans les paddocks, on parle de ce nouveau package comme celui de la dernière chance pour la marque au cheval cabré. Mais Alonso rappelle que Ferrari possède une réactivité hors pair et qu’elle n’a pas l’intention de laisser tomber la lutte pour le titre alors qu’on n’est pas encore à la mi-saison.
"Nous aurons d’importantes nouveautés sur la F10 qui, je l’espère, nous permettront d’élever notre niveau de performances. Suite à cela, nous avons d’autres développements en cours qui devraient arriver pour l’Angleterre et l’Allemagne," indique-t-il.
"Le Grand Prix d’Europe n’est que la neuvième manche du championnat et ce n’est pas le dernier effort pour Ferrari, ce que j’ai entendu dire. Je ne vois pas comment les gens peuvent dire ça étant donné que nous n’avons même pas atteint la mi-saison et qu’après Valence, il y aura encore dix Grands Prix à disputer."
"Je l’ai déjà dit et je vais le redire, c’est une étape et la dernière de ces étapes n’arrivera pas avant novembre, à Abu Dhabi. Il y a encore un long chemin à parcourir et les choses peuvent très vite changer et aller dans un sens ou dans un autre."
"Les gens semblent avoir oublié que l’année dernière, au milieu de la saison et dans une voiture qui était encore moins compétitive, Kimi (Räikkönen, nldr) était le pilote qui avait marqué le plus de points," rappelle le natif d’Oviedo.
Alonso estime par ailleurs que la compétitivité affichée par Ferrari sur le circuit Gilles Villeneuve à Montréal, où il est monté sur la troisième marche du podium, est le réel niveau de forme de l’équipe italienne, le Grand Prix de Turquie faisant figure d’exception.
"Nous étions de retour où nous avons été à pratiquement toutes les autres courses, la seule exception étant la Turquie où, pour diverses raisons, tout s’est mal déroulé à tous points de vue. La situation normale est celle que nous avons vu à Montréal, à Monaco, à Melbourne, à Sakhir et sur tous les autres circuits où nous nous sommes battus pour une arrivée sur le podium."
"Peut-être que les résultats ne correspondaient pas toujours à notre potentiel, mais je pense qu’on peut dire la même chose pour toutes les meilleures équipes. Sur ces huit premières courses de la saison, toutes sortes de choses sont arrivées - erreurs, problèmes de fiabilité, malchance - mais nous sommes toujours en lice pour les deux championnats. On peut dire la même chose de McLaren et Red Bull, qui ont également manqué des points en cours de route.