Fernando Alonso révèle que c'est son père qui lui a suggéré de rejoindre Ferrari.
"Mon père m'a toujours dit que cela surviendrait", a déclaré Alonso au Guardian. "Il m'a dit : 'Si tu cours pour Ferrari, après, tu peux prendre ta retraite. Tu auras tout fait.' Après mes deux titres mondiaux, je pensais avoir tout fait déjà. Il m'a dit 'non, non. Si tu pilotes pour Ferrari les gens vont oublier tes Championnats. Ils se rappelleront de toi comme d'un pilote Ferrari'. J'ai dit : 'OK Papa, on va voir.' Et maintenant je pense qu'il a eu raison. Piloter pour Ferrari donne un feeling spécial."
Lors des essais de Valence, début février, 36 000 personnes sont venues voir Alonso. C'est plus que pour le Grand Prix de Turquie 2009.
Pourtant, les débuts n'ont pas été faciles. "Quand j'ai commencé, chez Minardi, en 2001, mes parents étaient obligés de regarder la F1 sur la télé allemande", se souvient l'Asturien. "Aucune télé espagnole n'avait les droits. Maintenant, je pense que l'attention qui m'est portée ne va pas cesser d'augmenter. Mais les plus grandes difficultés sont à attendre hors d'Espagne. Un pilote Ferrari est toujours plus attendu que les autres."
"Mon père m'a toujours dit que cela surviendrait", a déclaré Alonso au Guardian. "Il m'a dit : 'Si tu cours pour Ferrari, après, tu peux prendre ta retraite. Tu auras tout fait.' Après mes deux titres mondiaux, je pensais avoir tout fait déjà. Il m'a dit 'non, non. Si tu pilotes pour Ferrari les gens vont oublier tes Championnats. Ils se rappelleront de toi comme d'un pilote Ferrari'. J'ai dit : 'OK Papa, on va voir.' Et maintenant je pense qu'il a eu raison. Piloter pour Ferrari donne un feeling spécial."
Lors des essais de Valence, début février, 36 000 personnes sont venues voir Alonso. C'est plus que pour le Grand Prix de Turquie 2009.
Pourtant, les débuts n'ont pas été faciles. "Quand j'ai commencé, chez Minardi, en 2001, mes parents étaient obligés de regarder la F1 sur la télé allemande", se souvient l'Asturien. "Aucune télé espagnole n'avait les droits. Maintenant, je pense que l'attention qui m'est portée ne va pas cesser d'augmenter. Mais les plus grandes difficultés sont à attendre hors d'Espagne. Un pilote Ferrari est toujours plus attendu que les autres."