Après son coup de colère envers son équipe, Mark Webber a remis les pendules à l'heure en Grande-Bretagne. Auteur d'une grande performance sur la piste de Silverstone mais surtout d'un excellent départ, l'Australien a dominé le GP de bout en bout.
Dès le premier virage, Webber prenait le meilleur sur son coéquipier, victime d'une crevaison quelques secondes plus tard et très vite relégué en dernière position. Lewis Hamilton, au volant de sa McLaren et devant son public, profitait alors de l'aubaine pour se glisser derrière l'Australien.
À cinq secondes de Webber tout au long de la course, et, malgré l'intervention du safety car, la McLaren d'Hamilton ne pouvait à aucun moment reprendre le pilote australien, trop fort aujourd'hui. Sebastien Vettel, de son côté, entamait une remontée fulgurante pour terminer la course en septième position et récupérer un minimum de points.
Derrière Webber, qui améliorait tour après tour le record de la piste, et Lewis Hamilton. Nico Rosberg assurait la troisième place du GP, contenant les assauts d'un Jenson Button retrouvé. Le champion du Monde en titre, parti de la quatorzième place et qui considérait, hier, sa voiture comme "inconduisible", a réalisé un départ monumental, gagnant six places lors du premier tour, avant de grimper jusqu'à la quatrième.
En revanche, c'est une nouvelle déception pour Michael Schumacher, neuvième à l'arrivée et qui espérait mieux aujourd'hui. Le septuple champion du Monde, qui regrettait sa piètre prestation lors de la séance de qualifications, n'a jamais trouvé le bon rythme pour inquiéter les pilotes qui le devançait.
La déception est encore plus grande chez les Ferrari. Fernando Alonso, qui semblait le seul à pouvoir rivaliser avec les Red Bull sur le week-end, perdait très vite son sang-froid lors du départ pour se retrouver en sixième. Comme si cela ne suffisait pas, l'Espagnol passait Robert Kubica en coupant un virage et attendait tranquillement que la sanction tombe... Dix tours plus tard, Alonso était contraint de s'arrêter aux stands pour une pénalité. Il ressortait alors dans le trafic, en queue-de-peloton, sans jamais revoir la tête de la course.
Pire encore, Felipe Massa, victime d'une crevaison au premier tour comme Sebastian Vettel, allait passer une après-midi cauchemardesque. Puisque contrairement à « Baby Schumi », le pilote Brésilien ne fut jamais en mesure d'hausser le rythme. Un week-end à oublier au plus vite pour Ferrari.
Même son de cloche chez Renault : Robert Kubica, auteur de belles qualifications et dans les points depuis le deuxième GP de la saison allait très vite tomber de son pied d'estal, victime d'un problème mécanique et contraint à l'abandon. Le Russe, Vitaly Petrov, un temps dans le Top 10, allait finalement terminer à la treizième place.
Au rayon des bonnes surprises, Kobayashi ! Entré pour la première fois dans les points, il y a deux semaines, au GP d'Europe, le Japonais a réédité sa performance et a même fait mieux en hissant sa Sauber au sixième rang derrière Rubens Barrichello. Le Brésilien, très régulier tout au long du week-end a fait une course propre, tenant sa position jusqu'au terme de la course.
Dès le premier virage, Webber prenait le meilleur sur son coéquipier, victime d'une crevaison quelques secondes plus tard et très vite relégué en dernière position. Lewis Hamilton, au volant de sa McLaren et devant son public, profitait alors de l'aubaine pour se glisser derrière l'Australien.
À cinq secondes de Webber tout au long de la course, et, malgré l'intervention du safety car, la McLaren d'Hamilton ne pouvait à aucun moment reprendre le pilote australien, trop fort aujourd'hui. Sebastien Vettel, de son côté, entamait une remontée fulgurante pour terminer la course en septième position et récupérer un minimum de points.
Derrière Webber, qui améliorait tour après tour le record de la piste, et Lewis Hamilton. Nico Rosberg assurait la troisième place du GP, contenant les assauts d'un Jenson Button retrouvé. Le champion du Monde en titre, parti de la quatorzième place et qui considérait, hier, sa voiture comme "inconduisible", a réalisé un départ monumental, gagnant six places lors du premier tour, avant de grimper jusqu'à la quatrième.
En revanche, c'est une nouvelle déception pour Michael Schumacher, neuvième à l'arrivée et qui espérait mieux aujourd'hui. Le septuple champion du Monde, qui regrettait sa piètre prestation lors de la séance de qualifications, n'a jamais trouvé le bon rythme pour inquiéter les pilotes qui le devançait.
La déception est encore plus grande chez les Ferrari. Fernando Alonso, qui semblait le seul à pouvoir rivaliser avec les Red Bull sur le week-end, perdait très vite son sang-froid lors du départ pour se retrouver en sixième. Comme si cela ne suffisait pas, l'Espagnol passait Robert Kubica en coupant un virage et attendait tranquillement que la sanction tombe... Dix tours plus tard, Alonso était contraint de s'arrêter aux stands pour une pénalité. Il ressortait alors dans le trafic, en queue-de-peloton, sans jamais revoir la tête de la course.
Pire encore, Felipe Massa, victime d'une crevaison au premier tour comme Sebastian Vettel, allait passer une après-midi cauchemardesque. Puisque contrairement à « Baby Schumi », le pilote Brésilien ne fut jamais en mesure d'hausser le rythme. Un week-end à oublier au plus vite pour Ferrari.
Même son de cloche chez Renault : Robert Kubica, auteur de belles qualifications et dans les points depuis le deuxième GP de la saison allait très vite tomber de son pied d'estal, victime d'un problème mécanique et contraint à l'abandon. Le Russe, Vitaly Petrov, un temps dans le Top 10, allait finalement terminer à la treizième place.
Au rayon des bonnes surprises, Kobayashi ! Entré pour la première fois dans les points, il y a deux semaines, au GP d'Europe, le Japonais a réédité sa performance et a même fait mieux en hissant sa Sauber au sixième rang derrière Rubens Barrichello. Le Brésilien, très régulier tout au long du week-end a fait une course propre, tenant sa position jusqu'au terme de la course.