Bien que McLaren ait connu un vendredi problématique à Hockenheim, l'équipe britannique a décidé de conserver son nouvel échappement bas pour le Grand Prix d'Allemagne.
Tout en travaillant leur réglages lors des essais libres, Lewis Hamilton et Jenson Button ont testé la nouvelle configuration à échappement bas de la MP4-25. Les gaz sont expulsés sur le diffuseur, augmentant ainsi son efficacité et par conséquent l'adhérence des pneus arrière. Red Bull, Ferrari et Mercedes ont déjà des configurations similaires.
La journée a été difficile pour McLaren. Outre la météo occasionnellement pluvieuse, les essais libres de vendredi ont été marqués par un équilibre capricieux sur la voiture de Button, tandis que Hamilton a lourdement endommagé la sienne en matinée.
Malgré ces revers, les ingénieurs de McLaren ont donné le feu vert à l'échappement bas. Les données recueillies sont assez favorables pour justifier son utilisation pendant les qualifications et la course.
"Puisque peu de temps a été passé en piste, c'est difficile pour un pilote de bien évaluer la direction à prendre", a expliqué le patron de McLaren, Martin Whitmarsh, à Autosport. "Alors il faut se fier aux données."
"Nous sommes confiants," ajoutait-il. "Cet échappement bas répondra à nos attentes, ou du moins à la plupart de nos attentes."
McLaren décide donc de prendre un risque en Allemagne, ce qu'elle avait préféré éviter de faire en Grande-Bretagne. Mais il est vrai que le travail a été peaufiné en usine entretemps. De plus, détail non négligeable, chaque course devient plus cruciale pour le championnat.
Quant à l'accident de Hamilton qui a fait perdre du temps précieux à l'équipe, Whitmarsh adopte un ton philosophique : "Ce sont des choses qui arrivent de temps à autre. Si ce n'est pas le cas, c'est que vous ne travaillez pas assez fort."
Tout en travaillant leur réglages lors des essais libres, Lewis Hamilton et Jenson Button ont testé la nouvelle configuration à échappement bas de la MP4-25. Les gaz sont expulsés sur le diffuseur, augmentant ainsi son efficacité et par conséquent l'adhérence des pneus arrière. Red Bull, Ferrari et Mercedes ont déjà des configurations similaires.
La journée a été difficile pour McLaren. Outre la météo occasionnellement pluvieuse, les essais libres de vendredi ont été marqués par un équilibre capricieux sur la voiture de Button, tandis que Hamilton a lourdement endommagé la sienne en matinée.
Malgré ces revers, les ingénieurs de McLaren ont donné le feu vert à l'échappement bas. Les données recueillies sont assez favorables pour justifier son utilisation pendant les qualifications et la course.
"Puisque peu de temps a été passé en piste, c'est difficile pour un pilote de bien évaluer la direction à prendre", a expliqué le patron de McLaren, Martin Whitmarsh, à Autosport. "Alors il faut se fier aux données."
"Nous sommes confiants," ajoutait-il. "Cet échappement bas répondra à nos attentes, ou du moins à la plupart de nos attentes."
McLaren décide donc de prendre un risque en Allemagne, ce qu'elle avait préféré éviter de faire en Grande-Bretagne. Mais il est vrai que le travail a été peaufiné en usine entretemps. De plus, détail non négligeable, chaque course devient plus cruciale pour le championnat.
Quant à l'accident de Hamilton qui a fait perdre du temps précieux à l'équipe, Whitmarsh adopte un ton philosophique : "Ce sont des choses qui arrivent de temps à autre. Si ce n'est pas le cas, c'est que vous ne travaillez pas assez fort."