A la conclusion des essais hivernaux, Lewis Hamilton admet que la McLaren MP4-26 a du retard sur ses rivales. Mais le défi est loin d'être insurmontable.
Le Britannique est confiant, il aura l'occasion de se battre contre ses rivaux cette année. En attendant les futurs développements qui devront être apportés à la voiture, Il faudra saisir les opportunités.
"On ne sait jamais quand cela sera le cas, alors je vais croiser les doigts et garder un œil sur ce que font les autres", continue Hamilton. "Tout le monde (dans l'équipe) travaille aussi fort que possible, comme toujours. Personne ne relâche les efforts. Nous avons une colline à gravir mais nous réussirons."
La stratégie à la rescousse ?
L'incertitude entourant les nouveaux pneus Pirelli - et leur dégradation rapide - pourrait offrir de belles opportunités. En effet, une stratégie d'arrêts aux stands bâclée pourrait permettre à une autre équipe, moins rapide mais plus constante, de passer devant.
Hamilton est d'avis que McLaren saurait profiter d'une telle situation. Il se garde toutefois une petite réserve : "Il y aura de la confusion lors des premières courses, mais tout le monde va éventuellement s'y habituer. Trois arrêts seront peut-être chose courante. Mais nous n'en sommes pas vraiment sûrs. Peut-être deux, peut-être quatre, peut-être cinq. Qui sait ?"
Bien comprendre le comportement des gommes sera un élément crucial. Les pneus auraient tendance à se dégrader à un rythme régulier avant de subitement détériorer. Le pilote devra être en mesure de déterminer le bon moment pour changer son train, mais ce ne sera pas chose facile.
"Vous ne pouvez pas le prédire, mais vous le ressentez", élabore Hamilton. "Il faut prendre la décision au moment où les pneus tombent en température, au moment où ils perdent de la gomme. Il faut alors prendre une décision et espérer que l'équipe ne vous réponde pas 'Non, n'entre pas tout de suite'."
Le Britannique est confiant, il aura l'occasion de se battre contre ses rivaux cette année. En attendant les futurs développements qui devront être apportés à la voiture, Il faudra saisir les opportunités.
"On ne sait jamais quand cela sera le cas, alors je vais croiser les doigts et garder un œil sur ce que font les autres", continue Hamilton. "Tout le monde (dans l'équipe) travaille aussi fort que possible, comme toujours. Personne ne relâche les efforts. Nous avons une colline à gravir mais nous réussirons."
La stratégie à la rescousse ?
L'incertitude entourant les nouveaux pneus Pirelli - et leur dégradation rapide - pourrait offrir de belles opportunités. En effet, une stratégie d'arrêts aux stands bâclée pourrait permettre à une autre équipe, moins rapide mais plus constante, de passer devant.
Hamilton est d'avis que McLaren saurait profiter d'une telle situation. Il se garde toutefois une petite réserve : "Il y aura de la confusion lors des premières courses, mais tout le monde va éventuellement s'y habituer. Trois arrêts seront peut-être chose courante. Mais nous n'en sommes pas vraiment sûrs. Peut-être deux, peut-être quatre, peut-être cinq. Qui sait ?"
Bien comprendre le comportement des gommes sera un élément crucial. Les pneus auraient tendance à se dégrader à un rythme régulier avant de subitement détériorer. Le pilote devra être en mesure de déterminer le bon moment pour changer son train, mais ce ne sera pas chose facile.
"Vous ne pouvez pas le prédire, mais vous le ressentez", élabore Hamilton. "Il faut prendre la décision au moment où les pneus tombent en température, au moment où ils perdent de la gomme. Il faut alors prendre une décision et espérer que l'équipe ne vous réponde pas 'Non, n'entre pas tout de suite'."