Le patron de Mercedes Motorsport, Norbert Haug, demande aux média et à la communauté F1 de cesser les critiques émises à l'égard de son pilote, Michael Schumacher.
Alors que le retour du septuple champion soulève déjà des questionnements, Schumacher a lui-même provoqué une polémique dans les derniers tours du Grand Prix de Hongrie le week-end dernier. En voulant se défendre contre une attaque de Rubens Barrichello, l'Allemand a failli envoyer son ancien coéquipier contre un mur de béton à 290 km/h.
Ce geste lui a valu une pénalité de recul de 10 places sur la prochaine grille de départ, mais aussi une pluie de critiques. Sa manœuvre était effectivement dangereuse. Fait rare, Schumacher s'est même excusé de l'avoir pratiquée.
Selon Haug, il serait maintenant temps de tourner la page sur cette histoire.
"Michael a présenté ses excuses et accepté sa pénalité", a-t-il dit au Der Tagespiegel. "Tout le monde devrait l'accepter et tirer un trait sur ce sujet."
On peut comprendre Mercedes de vouloir en finir avec une histoire qui fait mauvaise presse. Mais pour d'autres, il ne faudrait pas que cet événement soit simplement oublié. Surtout qu'il ne s'agit pas ici d'une recrue trop audacieuse mais bien d'un vétéran plus qu'expérimenté.
"Il a été champion du monde sept fois, il savait exactement ce qu'il faisait, c'était tout à fait délibéré", a déclaré l'ancien pilote Alex Wurz. "Une collision aurait pu être fatale."
"J'ai encore des frissons quand je regarde cette manœuvre", a écrit le pilote d'essais de Ferrari, Marc Gené, dans le journal El Mundo. "C'était inutile et dangereux."
"C'était un des plus flagrants malmenages d'un autre pilote que j'aie vu", annonçait le triple champion Jackie Stewart au journal The Sun. L'Écossais a été un pionnier de la F1 en matière de sécurité.
"Il s'agit d'un très mauvais exemple venant d'un homme ayant sept titres à son nom. Des tactiques de brute", ajoutait Stewart.
Alors que le retour du septuple champion soulève déjà des questionnements, Schumacher a lui-même provoqué une polémique dans les derniers tours du Grand Prix de Hongrie le week-end dernier. En voulant se défendre contre une attaque de Rubens Barrichello, l'Allemand a failli envoyer son ancien coéquipier contre un mur de béton à 290 km/h.
Ce geste lui a valu une pénalité de recul de 10 places sur la prochaine grille de départ, mais aussi une pluie de critiques. Sa manœuvre était effectivement dangereuse. Fait rare, Schumacher s'est même excusé de l'avoir pratiquée.
Selon Haug, il serait maintenant temps de tourner la page sur cette histoire.
"Michael a présenté ses excuses et accepté sa pénalité", a-t-il dit au Der Tagespiegel. "Tout le monde devrait l'accepter et tirer un trait sur ce sujet."
On peut comprendre Mercedes de vouloir en finir avec une histoire qui fait mauvaise presse. Mais pour d'autres, il ne faudrait pas que cet événement soit simplement oublié. Surtout qu'il ne s'agit pas ici d'une recrue trop audacieuse mais bien d'un vétéran plus qu'expérimenté.
"Il a été champion du monde sept fois, il savait exactement ce qu'il faisait, c'était tout à fait délibéré", a déclaré l'ancien pilote Alex Wurz. "Une collision aurait pu être fatale."
"J'ai encore des frissons quand je regarde cette manœuvre", a écrit le pilote d'essais de Ferrari, Marc Gené, dans le journal El Mundo. "C'était inutile et dangereux."
"C'était un des plus flagrants malmenages d'un autre pilote que j'aie vu", annonçait le triple champion Jackie Stewart au journal The Sun. L'Écossais a été un pionnier de la F1 en matière de sécurité.
"Il s'agit d'un très mauvais exemple venant d'un homme ayant sept titres à son nom. Des tactiques de brute", ajoutait Stewart.