Ferrari a lancé une attaque en règle contre un de ses anciens pilotes, le triple champion du monde Niki Lauda.
L'Autrichien a fortement critiqué les consignes d'équipe émises par la Scuderia lors du Grand Prix d'Allemagne, une décision interne qui a placé la victoire entre les mains de Fernando Alonso au détriment de Felipe Massa. Lauda a accusé Ferrari de préférer une méthode politique pour remporter le championnat, plutôt que laisser ses pilotes se battre en piste comme les autres écuries de pointe.
Par l'entremise de son éditorial Le Cheval chuchotant, dont l'identité de l'auteur demeure un mystère, Ferrari a répondu de manière très directe.
"Cette fois, ce bon vieux Niki a raté une opportunité pour se la fermer, surtout que la supposée politique de gestion des pilotes lui allait à merveille quant il était un pilote de la Scuderia," peut-on lire sur le site internet de Ferrari. "Où se trouvait toute cette fureur morale au cours des années, quand tant d'autres étaient coupables d'actions plus ou moins ouvertement hypocrites ?"
Le texte dénonce l'hypocrisie du paddock dans cette affaire, comme l'avait fait le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, après la manche allemande. L'éditorial s'en prend aussi à la crédibilité de Lauda.
"Le dernier commentaire provient de l'Autriche, d'une personne qui, ayant retiré son casque, n'a jamais laissé passer une opportunité pour distribuer ses opinions à gauche et à droite, même s'il a dû, plus d'une fois, faire des acrobaties verbales pour se repositionner dans le sens des vents dominants."
Lauda a prédit que le Conseil mondial du sport automobile, qui doit se pencher sur ce dossier des consignes d'équipes le mois prochain, donnera une "raclée" à Ferrari.
"Quant aux prédictions concernant une possible décision du Conseil mondial de la FIA le 8 septembre, le temps le dira", remarque Ferrari. "Dans une telle situation, la meilleure approche est de respecter le plus haut palier de l'instance gouvernante du sport et de lui faire confiance."
L'Autrichien a fortement critiqué les consignes d'équipe émises par la Scuderia lors du Grand Prix d'Allemagne, une décision interne qui a placé la victoire entre les mains de Fernando Alonso au détriment de Felipe Massa. Lauda a accusé Ferrari de préférer une méthode politique pour remporter le championnat, plutôt que laisser ses pilotes se battre en piste comme les autres écuries de pointe.
Par l'entremise de son éditorial Le Cheval chuchotant, dont l'identité de l'auteur demeure un mystère, Ferrari a répondu de manière très directe.
"Cette fois, ce bon vieux Niki a raté une opportunité pour se la fermer, surtout que la supposée politique de gestion des pilotes lui allait à merveille quant il était un pilote de la Scuderia," peut-on lire sur le site internet de Ferrari. "Où se trouvait toute cette fureur morale au cours des années, quand tant d'autres étaient coupables d'actions plus ou moins ouvertement hypocrites ?"
Le texte dénonce l'hypocrisie du paddock dans cette affaire, comme l'avait fait le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, après la manche allemande. L'éditorial s'en prend aussi à la crédibilité de Lauda.
"Le dernier commentaire provient de l'Autriche, d'une personne qui, ayant retiré son casque, n'a jamais laissé passer une opportunité pour distribuer ses opinions à gauche et à droite, même s'il a dû, plus d'une fois, faire des acrobaties verbales pour se repositionner dans le sens des vents dominants."
Lauda a prédit que le Conseil mondial du sport automobile, qui doit se pencher sur ce dossier des consignes d'équipes le mois prochain, donnera une "raclée" à Ferrari.
"Quant aux prédictions concernant une possible décision du Conseil mondial de la FIA le 8 septembre, le temps le dira", remarque Ferrari. "Dans une telle situation, la meilleure approche est de respecter le plus haut palier de l'instance gouvernante du sport et de lui faire confiance."