Alors que la rumeur d'un retour de l'usine Renault a fait surface hier, Gerard Lopez, le patron de Genii Capital, fait le bilan à l'entame du dernier tiers de la saison.
"Au plan commercial, tout va bien, nous sommes dans les clous", a déclaré l'homme d'affaire basé au Luxembourg à Autosport. "Mais au plan des investissements, nous sommes au-dessus de ce que nous voulions faire. Nous sommes au niveau des plus grosses écuries. Nous avons gardé 500 personnes et nous en avons engagé en plus."
"On savait que la voiture était mal née et on a fait beaucoup d'efforts pour la développer. Il y a eu des nouveautés presque à chaque course et les investissements que nous avons consentis étaient différents de ceux que nous avons eu à faire." C'est peut-être la raison pour laquelle Renault a demandé en cours de saison une avance sur ses recettes TV de l'année prochaine, qui lui a été refusée. Les contrats de partenariats avec des groupes bancaires sauront-ils sauver la fin de la saison et la saison prochaine ?
Par ailleurs, Renault n'a pas encore arrêté son choix sur le deuxième pilote l'an prochain, ce qui ouvre une porte sur un possible financement. L'apport de Vitaly Petrov cette saison n'était pas négligeable et on peut penser que Renault, au vu de sa situation financière, va attendre encore avant de se décider à prolonger le Russe, bon rookie payant, ou à aller chercher un pilote pilote de premier plan qui lui coûtera peut-être cher.
"Au plan commercial, tout va bien, nous sommes dans les clous", a déclaré l'homme d'affaire basé au Luxembourg à Autosport. "Mais au plan des investissements, nous sommes au-dessus de ce que nous voulions faire. Nous sommes au niveau des plus grosses écuries. Nous avons gardé 500 personnes et nous en avons engagé en plus."
"On savait que la voiture était mal née et on a fait beaucoup d'efforts pour la développer. Il y a eu des nouveautés presque à chaque course et les investissements que nous avons consentis étaient différents de ceux que nous avons eu à faire." C'est peut-être la raison pour laquelle Renault a demandé en cours de saison une avance sur ses recettes TV de l'année prochaine, qui lui a été refusée. Les contrats de partenariats avec des groupes bancaires sauront-ils sauver la fin de la saison et la saison prochaine ?
Par ailleurs, Renault n'a pas encore arrêté son choix sur le deuxième pilote l'an prochain, ce qui ouvre une porte sur un possible financement. L'apport de Vitaly Petrov cette saison n'était pas négligeable et on peut penser que Renault, au vu de sa situation financière, va attendre encore avant de se décider à prolonger le Russe, bon rookie payant, ou à aller chercher un pilote pilote de premier plan qui lui coûtera peut-être cher.