Adrian Sutil a dit prévoir une année éprouvante pour la Formule 1 en 2011 alors que le cirque s’adaptera aux nouveaux pneumatiques Pirelli.
La marque italienne, qui n’a pas été du Championnat du monde de F1 depuis le début des années ’90, remplacera Bridgestone comme manufacturier unique dès l’an prochain. Le programme de développement a déjà été entamé.
Le pilote Force India Adrian Sutil a déclaré : « Je prévois une année éprouvante. »
« C’est compréhensible parce qu’un nouveau manufacturier doit faire sa propre collecte de données et vivre ses propres expériences. Ça prendra un ou deux ans avant que Pirelli nous offre des gommes parfaites », a prédit l’Allemand qui accueille toutefois ce défi avec enthousiasme.
« Ce sera la même chose pour tout le monde. On devra tous s’adapter à la situation. Ça rendra les choses plutôt excitantes », a-t-il déclaré.
Bridgestone avait fait son entrée en F1 en 1997. Le patron de la compagnie japonaise, Hirohide Hamashima, explique : « Nous avons eu l’avantage de pouvoir entrer progressivement puisque Goodyear était toujours là. Nous avons équipé une puis deux puis trois équipes. »
« C’est très différent pour Pirelli parce qu’ils doivent immédiatement fournir tout le plateau. Pour le moment, ils ne nous ont pas demandé notre aide parce que les ingénieurs sont trop fiers, surtout lorsqu’il s’agit de faire affaires avec la compétition », a-t-il commenté.
« Par contre, si Pirelli souhaitait rencontrer nos employés pour obtenir des conseils, ce serait avec plaisir que nous les aiderions. Nous avons bâti une solide relation avec les équipes au fil des ans et nous ne voudrions pas que tout le monde soit confus. »
« Nous souhaitons que la transition entre Bridgestone soit faite le plus en douceur possible », a conclu Hamashima.
La marque italienne, qui n’a pas été du Championnat du monde de F1 depuis le début des années ’90, remplacera Bridgestone comme manufacturier unique dès l’an prochain. Le programme de développement a déjà été entamé.
Le pilote Force India Adrian Sutil a déclaré : « Je prévois une année éprouvante. »
« C’est compréhensible parce qu’un nouveau manufacturier doit faire sa propre collecte de données et vivre ses propres expériences. Ça prendra un ou deux ans avant que Pirelli nous offre des gommes parfaites », a prédit l’Allemand qui accueille toutefois ce défi avec enthousiasme.
« Ce sera la même chose pour tout le monde. On devra tous s’adapter à la situation. Ça rendra les choses plutôt excitantes », a-t-il déclaré.
Bridgestone avait fait son entrée en F1 en 1997. Le patron de la compagnie japonaise, Hirohide Hamashima, explique : « Nous avons eu l’avantage de pouvoir entrer progressivement puisque Goodyear était toujours là. Nous avons équipé une puis deux puis trois équipes. »
« C’est très différent pour Pirelli parce qu’ils doivent immédiatement fournir tout le plateau. Pour le moment, ils ne nous ont pas demandé notre aide parce que les ingénieurs sont trop fiers, surtout lorsqu’il s’agit de faire affaires avec la compétition », a-t-il commenté.
« Par contre, si Pirelli souhaitait rencontrer nos employés pour obtenir des conseils, ce serait avec plaisir que nous les aiderions. Nous avons bâti une solide relation avec les équipes au fil des ans et nous ne voudrions pas que tout le monde soit confus. »
« Nous souhaitons que la transition entre Bridgestone soit faite le plus en douceur possible », a conclu Hamashima.