Le patron de l'écurie McLaren Martin Whitmarsh a, comme à Monza il y a deux semaines, trouvé des circonstances atténuantes à son pilote Lewis Hamilton, qui a aligné un deuxième accrochage en deux courses, dimanche à Singapour.
Cette fois ce n'est pas au départ, comme en Italie, que l'Anglais a été contraint à l'abandon, mais à la fin, lorsqu'il tentait de fermer la porte à Mark Webber.
"Je pense que Lewis a été très malheureux (...)", a soutenu Whitmarsh. "Ce n'était pas un dépassement désespéré mais une solide manœuvre de dépassement. Quand vous tentez de doubler dans n'importe quelle course vous prenez un risque et malheureusement ça n'a pas réussi cette fois."
"J'ai vu que Mark avait fait une erreur (en dépassant le Virgin attardée de Glock) et j'étais dans la position de pouvoir le dépasser par l'extérieur", s'est justiié Hamilton. "Je pensais l'avoir fait. J'ai tourné en essayant de laisser suffisamment de place à l'intérieur. Et l'instant d'après, j'étais touché".
Au classement, Hamilton perd de précieux points mais il reste en course pour le titre.
Cette fois ce n'est pas au départ, comme en Italie, que l'Anglais a été contraint à l'abandon, mais à la fin, lorsqu'il tentait de fermer la porte à Mark Webber.
"Je pense que Lewis a été très malheureux (...)", a soutenu Whitmarsh. "Ce n'était pas un dépassement désespéré mais une solide manœuvre de dépassement. Quand vous tentez de doubler dans n'importe quelle course vous prenez un risque et malheureusement ça n'a pas réussi cette fois."
"J'ai vu que Mark avait fait une erreur (en dépassant le Virgin attardée de Glock) et j'étais dans la position de pouvoir le dépasser par l'extérieur", s'est justiié Hamilton. "Je pensais l'avoir fait. J'ai tourné en essayant de laisser suffisamment de place à l'intérieur. Et l'instant d'après, j'étais touché".
Au classement, Hamilton perd de précieux points mais il reste en course pour le titre.