Le Grand Prix de Rome ne coûtera rien à la Ville éternelle ; c'est ce qu'affirme le promoteur du projet.
La première édition de ce qui devrait être une impressionnante manche du championnat de Formule 1 devrait avoir lieu en 2012 ou 2013, à condition que les résidents du secteur convoité donnent leur accord. Mais la partie n'est peut-être pas gagnée d'avance.
Les propriétaires du circuit de Monza ainsi que les représentants de la région de Lombardie, où a lieu le Grand Prix d'Italie, voient le projet de circuit urbain romain comme une menace à leur propre course. De plus, les opposants donnent en exemple le Grand Prix d'Australie à Melbourne, où les contribuables doivent compenser les énormes dettes répétitives de l'épreuve.
Mais le promoteur du GP de Rome insiste : la ville n'aura pas à rembourser d'immenses factures. En fait, elle n'aura rien à payer du tout.
"Je le réitère, notre plan d'affaires pour ce projet ne prévoit aucun paiement par la Commune de Rome", a déclaré Maurizio Flammini, tel que rapporté par Adnkronos. "Pas un seul euro ne passera des coffres municipaux au promoteur du Grand Prix."
La première édition de ce qui devrait être une impressionnante manche du championnat de Formule 1 devrait avoir lieu en 2012 ou 2013, à condition que les résidents du secteur convoité donnent leur accord. Mais la partie n'est peut-être pas gagnée d'avance.
Les propriétaires du circuit de Monza ainsi que les représentants de la région de Lombardie, où a lieu le Grand Prix d'Italie, voient le projet de circuit urbain romain comme une menace à leur propre course. De plus, les opposants donnent en exemple le Grand Prix d'Australie à Melbourne, où les contribuables doivent compenser les énormes dettes répétitives de l'épreuve.
Mais le promoteur du GP de Rome insiste : la ville n'aura pas à rembourser d'immenses factures. En fait, elle n'aura rien à payer du tout.
"Je le réitère, notre plan d'affaires pour ce projet ne prévoit aucun paiement par la Commune de Rome", a déclaré Maurizio Flammini, tel que rapporté par Adnkronos. "Pas un seul euro ne passera des coffres municipaux au promoteur du Grand Prix."