Si vous avez suivi le Grand Prix du Japon, vous savez que le Grand Prix de Corée du 24 octobre aura bien lieu malgré les craintes. On peut donc penser que le circuit sera terminé à cette date. Reste à savoir ce que l'on entend par « circuit ».
Charlie Whiting est actuellement en Corée pour juger du véritable avancement des travaux du circuit, afin de s'assurer pour de bon de la possibilité d'accueillir le barnum de la F1 dans 10 jours. La décision définitive doit donc tomber d'ici quelques heures. Le site espagnol autofacil s'est procuré plusieurs images récentes du circuit qui nous montrent, si elles sont véridiques, l'état d'avancement des travaux. Autant dire que ce qui sera terminé sera un strict minimum.
Si effectivement la piste est aujourd'hui bitumée, les stands apparemment bien avancés, tout ce qui entoure le circuit est un sombre marécage. Les hôtels, les accès, les infrastructures nécessaires au bon déroulement d'un Grand Prix sont spectaculairement absents. Une autre inconnue subsiste : la piste ayant été goudronnée il y a seulement 3 jours, les pluies n'étant pas rares en cette saison comme on l'a vu au Japon, la question de la solidification du bitume se pose avec insistance.
Bref, si le revêtement tient le choc, les cameramen télé devront tout de même cadrer serré pour ne pas trop dévoiler une campagne à côté de laquelle celle de Magny-Cours ferait presque figure de Mégalopôle titanesque.
On attend le verdict de Charlie Whiting
Charlie Whiting est actuellement en Corée pour juger du véritable avancement des travaux du circuit, afin de s'assurer pour de bon de la possibilité d'accueillir le barnum de la F1 dans 10 jours. La décision définitive doit donc tomber d'ici quelques heures. Le site espagnol autofacil s'est procuré plusieurs images récentes du circuit qui nous montrent, si elles sont véridiques, l'état d'avancement des travaux. Autant dire que ce qui sera terminé sera un strict minimum.
Si effectivement la piste est aujourd'hui bitumée, les stands apparemment bien avancés, tout ce qui entoure le circuit est un sombre marécage. Les hôtels, les accès, les infrastructures nécessaires au bon déroulement d'un Grand Prix sont spectaculairement absents. Une autre inconnue subsiste : la piste ayant été goudronnée il y a seulement 3 jours, les pluies n'étant pas rares en cette saison comme on l'a vu au Japon, la question de la solidification du bitume se pose avec insistance.
Bref, si le revêtement tient le choc, les cameramen télé devront tout de même cadrer serré pour ne pas trop dévoiler une campagne à côté de laquelle celle de Magny-Cours ferait presque figure de Mégalopôle titanesque.
On attend le verdict de Charlie Whiting