Les premiers échos en provenance du Circuit international de Corée font état d'un édifice qui est encore en construction.
"La structure principale est préparée", déclare le pilote Virgin Lucas di Grassi. "Mais il reste quelques menus travaux à faire."
Arriver jusquà ce circuit n'est pas une mince affaire. Il faut atterrir à Séoul puis rejoindre Mopko pas le KTX, le TGV coréen (qui propose le wi-fi gratuit) et ensuite aller par la route à Yeongam.
Le journaliste suisse Roger Benoît décrit le circuit comme "un énorme chantier". Williams a changé ses réservations d'hôtel pour un établissement plus décent mais qui l'oblige à trois heures de trajet par jour. "Ce qui domine sur le site, ce sont les débris et les engins", écrit encore Benoît, alors que des ouvriers s'affairent encore sur la ligne droite des stands.
Le team manager de Sauber Beat Zehnder n'a pas caché qu'il a "hâte d'être aux deux dernières courses, à Sao Paulo et Abou Dhabi". La location de la place pour les hospitalités des équipes se monte à 40 000 $ et 20 000 de plus pour monter le deuxième étage, "ce que personne ne fera", déclare-t-il.
Auto Motor und Sport affirmait mercredi que la grille de départ n'était pas encore peinte et qu'il y avait beaucoup de sable sur le tracé en raison des travaux.
L'ancien pilote Marc Surer annonce dans Speed Week que tous les sièges ne sont pas posés dans la tribune des stands. "Il reste encore beaucoup à faire. Mais en ce qui concerne la piste en elle-même, je suis surpris qu'elle soit terminée. Peut-elle maintenant supporter des heures d'essais et de course ? C'est une autre question."
"La structure principale est préparée", déclare le pilote Virgin Lucas di Grassi. "Mais il reste quelques menus travaux à faire."
Arriver jusquà ce circuit n'est pas une mince affaire. Il faut atterrir à Séoul puis rejoindre Mopko pas le KTX, le TGV coréen (qui propose le wi-fi gratuit) et ensuite aller par la route à Yeongam.
Le journaliste suisse Roger Benoît décrit le circuit comme "un énorme chantier". Williams a changé ses réservations d'hôtel pour un établissement plus décent mais qui l'oblige à trois heures de trajet par jour. "Ce qui domine sur le site, ce sont les débris et les engins", écrit encore Benoît, alors que des ouvriers s'affairent encore sur la ligne droite des stands.
Le team manager de Sauber Beat Zehnder n'a pas caché qu'il a "hâte d'être aux deux dernières courses, à Sao Paulo et Abou Dhabi". La location de la place pour les hospitalités des équipes se monte à 40 000 $ et 20 000 de plus pour monter le deuxième étage, "ce que personne ne fera", déclare-t-il.
Auto Motor und Sport affirmait mercredi que la grille de départ n'était pas encore peinte et qu'il y avait beaucoup de sable sur le tracé en raison des travaux.
L'ancien pilote Marc Surer annonce dans Speed Week que tous les sièges ne sont pas posés dans la tribune des stands. "Il reste encore beaucoup à faire. Mais en ce qui concerne la piste en elle-même, je suis surpris qu'elle soit terminée. Peut-elle maintenant supporter des heures d'essais et de course ? C'est une autre question."