Après les rumeurs de la proposition d’achat de Toro Rosso par Villeneuve Racing (voir ici) pour 30 millions d’euros, la petite Scuderia italienne dispose d’une situation difficile. Même si Red Bull continue de la soutenir.
Dans une interview pour le quotidien Der Spiegel, Dietrch Mateschitz a indiqué, à propos, de l’équipe italienne : « Toro Rosso est toujours notre équipe pour nos jeunes pilotes. Dans cette équipe nous gérons nos meilleurs talents de notre programme de détection de pilotes de Formule 1. » Mais il y a quelques problèmes à résoudre.
Le premier reste financier. En effet, la boisson énergisante reste le principal partenaire financier de l’équipe (35 millions d’euros de sponsoring en 2010), mais l’augmentation des effectifs du team italien (+23 personnes) d’ici la fin de l’année (280 personnes total), cause des problèmes. En effet, il semblerait que Red Bull refuse d’augmenter les ressources de son équipe B.
A terme l’équipe de Faenza vivra avec le budget Red Bull et les droits FOM, ce qui donnera environ 80 millions d’euros annuel au total. Suffisant sur le papier, mais l’équipe est dans une phase d’investissements important depuis 18 mois. Ce qui signifie qu’elle a besoin de beaucoup de ressources financières et que le développement de la STR04 en a souffert.
Une gestion de trésorerie frustrante mais qui laisse Toro Rosso à sa place : Une équipe bis, qui ne doit pas être une rivale de la grande sœur. Une équipe devant permettre de confirmer les investissements sur des pilotes depuis le Karting. Sans autre prétention que la formation. Sauf que, négocier un volant avec une équipe déjà existante (comme à l’époque de Sauber, Arrows ou Jaguar) était beaucoup moins coûteux que de financer une équipe.
STR a cherché des partenaires financiers , via des joint-ventures durant l’été, sans vraiment y parvenir. Faute d’une réelle stratégie de Red Bull en la matière et surtout de la politique sportive des partenaires alors en discussion.
Dans une interview pour le quotidien Der Spiegel, Dietrch Mateschitz a indiqué, à propos, de l’équipe italienne : « Toro Rosso est toujours notre équipe pour nos jeunes pilotes. Dans cette équipe nous gérons nos meilleurs talents de notre programme de détection de pilotes de Formule 1. » Mais il y a quelques problèmes à résoudre.
Le premier reste financier. En effet, la boisson énergisante reste le principal partenaire financier de l’équipe (35 millions d’euros de sponsoring en 2010), mais l’augmentation des effectifs du team italien (+23 personnes) d’ici la fin de l’année (280 personnes total), cause des problèmes. En effet, il semblerait que Red Bull refuse d’augmenter les ressources de son équipe B.
A terme l’équipe de Faenza vivra avec le budget Red Bull et les droits FOM, ce qui donnera environ 80 millions d’euros annuel au total. Suffisant sur le papier, mais l’équipe est dans une phase d’investissements important depuis 18 mois. Ce qui signifie qu’elle a besoin de beaucoup de ressources financières et que le développement de la STR04 en a souffert.
Une gestion de trésorerie frustrante mais qui laisse Toro Rosso à sa place : Une équipe bis, qui ne doit pas être une rivale de la grande sœur. Une équipe devant permettre de confirmer les investissements sur des pilotes depuis le Karting. Sans autre prétention que la formation. Sauf que, négocier un volant avec une équipe déjà existante (comme à l’époque de Sauber, Arrows ou Jaguar) était beaucoup moins coûteux que de financer une équipe.
STR a cherché des partenaires financiers , via des joint-ventures durant l’été, sans vraiment y parvenir. Faute d’une réelle stratégie de Red Bull en la matière et surtout de la politique sportive des partenaires alors en discussion.
