Button : ''Je vais bien''
Jenson Button a donné un peu plus de détails sur l'agression dont il a été victime samedi soir à Sao Paulo, au moment de rentrer à son hôtel
"On était arrêtés à un feu, au troisième rang. Notre chauffeur, comme d'habitude, ne s'est pas collé à la voiture de devant. Nous avons regardé sur la droite et nous avons vu des gars à l'entrée d'un immeuble", raconte le pilote McLaren.
"Cela avait l'air suspect mais rien de plus. Et puis Richard (Goddard, le manager de Button) a remarqué que l'un d'eux avait un bâton à la main. Et ensuite j'ai remarqué qu'un autre avait quelque chose dans la poche de son pantalon qui était un révolver. Dès que j'ai dit cela, le chauffeur a regardé et quand les gars ont vu qu'il regardait dans leur direction, ils se sont mis à courir vers la voiture."
"On a braqué et accéléré. Il n'y avait pas beaucoup d'espace mais nous sommes parvenus à passer entre les deux rangées de voitures non sans les avoir poussées. On s'est échappés comme cela. On a regardé en arrière et on a vu deux gars avec des armes. Un avait un revolver et l'autre un arme automatique."
"Je vais bien. On était dans une Mercedes Classe B blindée. Ce n'est pas la plus grosse voiture mais elle a tenu le coup. Les vitres étaient teintées."
"Ce sont des choses qui se passent chaque année mais jusqu'à ce que ça vous arrive vous ne pouvez pas savoir ce que c'est. Ça fait très peur. C'est comme irréel et aussi, je ne pense pas que nous sommes les seuls à qui c'est arrivé hier (six ingénieurs de Sauber ont été agressés et se sont fait dérober du matériel). Je compatis avec eux."
"Beaucoup d'attention est portée là-dessus maintenant parce que c'est arrivé à un pilote. Espérons que cela sensibilisera sur les dangers qu'il y a ici. D'après ce que je sais, la plupart des pilotes ont une escorte policière, des voitures blindées et un chauffeur de la police. Ce n'est pas très agréable mais maintenant, nous sommes ici et nous espérons une bonne course, c'est le plus important."
Jenson Button a donné un peu plus de détails sur l'agression dont il a été victime samedi soir à Sao Paulo, au moment de rentrer à son hôtel
"On était arrêtés à un feu, au troisième rang. Notre chauffeur, comme d'habitude, ne s'est pas collé à la voiture de devant. Nous avons regardé sur la droite et nous avons vu des gars à l'entrée d'un immeuble", raconte le pilote McLaren.
"Cela avait l'air suspect mais rien de plus. Et puis Richard (Goddard, le manager de Button) a remarqué que l'un d'eux avait un bâton à la main. Et ensuite j'ai remarqué qu'un autre avait quelque chose dans la poche de son pantalon qui était un révolver. Dès que j'ai dit cela, le chauffeur a regardé et quand les gars ont vu qu'il regardait dans leur direction, ils se sont mis à courir vers la voiture."
"On a braqué et accéléré. Il n'y avait pas beaucoup d'espace mais nous sommes parvenus à passer entre les deux rangées de voitures non sans les avoir poussées. On s'est échappés comme cela. On a regardé en arrière et on a vu deux gars avec des armes. Un avait un revolver et l'autre un arme automatique."
"Je vais bien. On était dans une Mercedes Classe B blindée. Ce n'est pas la plus grosse voiture mais elle a tenu le coup. Les vitres étaient teintées."
"Ce sont des choses qui se passent chaque année mais jusqu'à ce que ça vous arrive vous ne pouvez pas savoir ce que c'est. Ça fait très peur. C'est comme irréel et aussi, je ne pense pas que nous sommes les seuls à qui c'est arrivé hier (six ingénieurs de Sauber ont été agressés et se sont fait dérober du matériel). Je compatis avec eux."
"Beaucoup d'attention est portée là-dessus maintenant parce que c'est arrivé à un pilote. Espérons que cela sensibilisera sur les dangers qu'il y a ici. D'après ce que je sais, la plupart des pilotes ont une escorte policière, des voitures blindées et un chauffeur de la police. Ce n'est pas très agréable mais maintenant, nous sommes ici et nous espérons une bonne course, c'est le plus important."