La fin d’une saison de Formule 1 est le moment de regarder aux chiffres et d’analyser les résultats de l’année écoulée.
Il n’y a aucun doute que cette saison représente un pas en avant important pour la Scuderia Ferrari comparé à 2009, passant d’une à cinq victoires, de six à 15 podiums et de 20 à 32 arrivées dans les points. Malgré la perte du titre des pilotes à Abu Dhabi, suite à une erreur de stratégie, cela montre que l’équipe italienne n’a pas à rougir de son championnat.
Cependant, il est également intéressant de passer en revue ces trois dernières années, qui représentent la période durant laquelle Stefano Domenicali a pris le poste de team principal de l’écurie.
Sur les 54 derniers Grands Prix disputés, une monoplace de Maranello a terminé 40 fois sur le podium : 14 fois sur la première marche, 9 sur la deuxième et 17 sur la troisième. Aucune équipe n’a fait mieux durant cette période : Red Bull Racing est à 37 podiums (avec toutefois une victoire de plus), McLaren Mercedes à 34 (avec une victoire de moins). Les autres écuries se sont réparties les miettes, à l’exception de la surprenante Brawn GP. Rachetée un mois à peine avant le début de la saison 2009 par Ross Brawn suite au départ de Honda, l’écurie maintenant connue sous le nom de Mercedes GP est montée 15 fois sur le podium l’an dernier. Si l’on ajoute le Top 3 décroché en 2008 et les trois podiums obtenus cette année, cela représente un total respectable de 19 podiums pour l’équipe de Brackley.
De son côté, Renault n’a pas gagné une course depuis 2008 et a eu l’un de ses pilotes dans le Top 3 à seulement huit occasions. Avant de se retirer de la Formule 1, BMW a décroché un seul Grand Prix et 12 podiums, tandis que Toyota, qui a également quitté le championnat, compte seulement sept podiums.
Sous la direction de Stefano Domenicali, Ferrari a également connu la joie avec le titre des constructeurs en 2008 mais également des larmes, avec l’échec de Felipe Massa au championnat pour un point seulement la même année et maintenant celui de Fernando Alonso.
En fait, si l’on prend en compte la période durant laquelle Stefano Domenicali était déjà en charge des fonctions de team principal en 2007, lorsque Jean Todt était encore à la tête de l’équipe en tant que responsable de la Gestion Sportive, alors deux titres supplémentaires sont à prendre en compte : celui de Kimi Räikkönen, un point devant Lewis Hamilton et Fernando Alonso, et celui des constructeurs – McLaren Mercedes ayant été déclassée cette année là pour l’affaire d’espionnage.
En tenant compte de ces titres, on peut dire que le management actuel de Ferrari, qui a repris la tête de la Scuderia après le départ du trio emblématique Todt-Schumacher-Brawn, et qui est maintenant composé de Domenicali-Costa-Tombazis-Dyer et d’autres personnes, a permis à l’équipe de remporter trois des huit derniers championnats. En quatre ans, Ferrari n’a connu qu’une seule mauvaise année, en 2009.
Un patron d’équipe est souvent jugé sur la base de ses succès, mais il ne faut pas oublier que, à un moment où la Formule 1 traversait une période de changements importants, d’un point de vue technique, sportif et financier, rester simplement proche du sommet est déjà un exploit en soi.
Il n’y a aucun doute que cette saison représente un pas en avant important pour la Scuderia Ferrari comparé à 2009, passant d’une à cinq victoires, de six à 15 podiums et de 20 à 32 arrivées dans les points. Malgré la perte du titre des pilotes à Abu Dhabi, suite à une erreur de stratégie, cela montre que l’équipe italienne n’a pas à rougir de son championnat.
Cependant, il est également intéressant de passer en revue ces trois dernières années, qui représentent la période durant laquelle Stefano Domenicali a pris le poste de team principal de l’écurie.
Sur les 54 derniers Grands Prix disputés, une monoplace de Maranello a terminé 40 fois sur le podium : 14 fois sur la première marche, 9 sur la deuxième et 17 sur la troisième. Aucune équipe n’a fait mieux durant cette période : Red Bull Racing est à 37 podiums (avec toutefois une victoire de plus), McLaren Mercedes à 34 (avec une victoire de moins). Les autres écuries se sont réparties les miettes, à l’exception de la surprenante Brawn GP. Rachetée un mois à peine avant le début de la saison 2009 par Ross Brawn suite au départ de Honda, l’écurie maintenant connue sous le nom de Mercedes GP est montée 15 fois sur le podium l’an dernier. Si l’on ajoute le Top 3 décroché en 2008 et les trois podiums obtenus cette année, cela représente un total respectable de 19 podiums pour l’équipe de Brackley.
De son côté, Renault n’a pas gagné une course depuis 2008 et a eu l’un de ses pilotes dans le Top 3 à seulement huit occasions. Avant de se retirer de la Formule 1, BMW a décroché un seul Grand Prix et 12 podiums, tandis que Toyota, qui a également quitté le championnat, compte seulement sept podiums.
Sous la direction de Stefano Domenicali, Ferrari a également connu la joie avec le titre des constructeurs en 2008 mais également des larmes, avec l’échec de Felipe Massa au championnat pour un point seulement la même année et maintenant celui de Fernando Alonso.
En fait, si l’on prend en compte la période durant laquelle Stefano Domenicali était déjà en charge des fonctions de team principal en 2007, lorsque Jean Todt était encore à la tête de l’équipe en tant que responsable de la Gestion Sportive, alors deux titres supplémentaires sont à prendre en compte : celui de Kimi Räikkönen, un point devant Lewis Hamilton et Fernando Alonso, et celui des constructeurs – McLaren Mercedes ayant été déclassée cette année là pour l’affaire d’espionnage.
En tenant compte de ces titres, on peut dire que le management actuel de Ferrari, qui a repris la tête de la Scuderia après le départ du trio emblématique Todt-Schumacher-Brawn, et qui est maintenant composé de Domenicali-Costa-Tombazis-Dyer et d’autres personnes, a permis à l’équipe de remporter trois des huit derniers championnats. En quatre ans, Ferrari n’a connu qu’une seule mauvaise année, en 2009.
Un patron d’équipe est souvent jugé sur la base de ses succès, mais il ne faut pas oublier que, à un moment où la Formule 1 traversait une période de changements importants, d’un point de vue technique, sportif et financier, rester simplement proche du sommet est déjà un exploit en soi.