Stefano Domenicali, le patron de la Scuderia Ferrari, a réfléchi à son avenir suite à la débâcle du Grand Prix d'Abou Dhabi.
La stratégie déployée lors de la finale du championnat 2010 s'est avérée mauvaise. Englué dans le trafic, Fernando Alonso n'a jamais pu rejoindre la position qui lui aurait permis de décrocher la couronne au lieu du pilote Red Bull Sebastian Vettel, que l'Espagnol menait pourtant par 15 points au moment du départ.
Alors que Ferrari vivait une énorme déception, Domenicali s'est placé en mode réflexion.
"Après Abou Dhabi, j'ai personnellement soulevé la question. Je me demandais s'il était juste ou non que je reste", a-t-il avoué au journal La Repubblica. "Mais il s'agit ici d'un devoir. Je suis arrivé à la conclusion que démissionner serait une erreur."
"Je connais cette équipe et je crois être le mieux placé pour capitaliser sur les efforts effectués au cours des derniers mois. D'un point de vue méthodologique, nous avons pratiquement tout changé à Maranello. Je suis convaincu que nous verrons prochainement les résultats."
L'Italien a souligné que l'erreur stratégique commise à Abou Dhabi prenait toute son ampleur dans le contexte d'une finale où tout est en jeu : "Les effets ont été dévastateurs. Mais dans une course normale, une telle erreur aurait été normale."
Grand combat à l'horizon
2010 a été une saison exceptionnellement compétitive. Le niveau de stress pourrait augmenter davantage cette année, croit Domenicali.
"C'était la guerre en 2010, et ce le sera encore plus en 2011", a annoncé le patron de Ferrari. "En plus de Red Bull, qui seront les favoris, il y aura McLaren. Ils sont toujours à l'avant et (Lewis) Hamilton est un pilote exceptionnel. Et je m'attends à voir Mercedes dans le coup. Ils ont trop investi pour se permettre une autre saison comme la dernière."
Domenicali a aussi parlé de son pilote Felipe Massa, qui a d'ailleurs reconnu avoir vécu une année difficile. Mais s'agit-il d'une constatation ou d'un avertissement ? Un peu des deux...
"Je suis certain que nous verrons un grand Massa en 2011", a dit Domenicali. "Il sait qu'il ne peut se permettre une autre saison comme 2010."
La stratégie déployée lors de la finale du championnat 2010 s'est avérée mauvaise. Englué dans le trafic, Fernando Alonso n'a jamais pu rejoindre la position qui lui aurait permis de décrocher la couronne au lieu du pilote Red Bull Sebastian Vettel, que l'Espagnol menait pourtant par 15 points au moment du départ.
Alors que Ferrari vivait une énorme déception, Domenicali s'est placé en mode réflexion.
"Après Abou Dhabi, j'ai personnellement soulevé la question. Je me demandais s'il était juste ou non que je reste", a-t-il avoué au journal La Repubblica. "Mais il s'agit ici d'un devoir. Je suis arrivé à la conclusion que démissionner serait une erreur."
"Je connais cette équipe et je crois être le mieux placé pour capitaliser sur les efforts effectués au cours des derniers mois. D'un point de vue méthodologique, nous avons pratiquement tout changé à Maranello. Je suis convaincu que nous verrons prochainement les résultats."
L'Italien a souligné que l'erreur stratégique commise à Abou Dhabi prenait toute son ampleur dans le contexte d'une finale où tout est en jeu : "Les effets ont été dévastateurs. Mais dans une course normale, une telle erreur aurait été normale."
Grand combat à l'horizon
2010 a été une saison exceptionnellement compétitive. Le niveau de stress pourrait augmenter davantage cette année, croit Domenicali.
"C'était la guerre en 2010, et ce le sera encore plus en 2011", a annoncé le patron de Ferrari. "En plus de Red Bull, qui seront les favoris, il y aura McLaren. Ils sont toujours à l'avant et (Lewis) Hamilton est un pilote exceptionnel. Et je m'attends à voir Mercedes dans le coup. Ils ont trop investi pour se permettre une autre saison comme la dernière."
Domenicali a aussi parlé de son pilote Felipe Massa, qui a d'ailleurs reconnu avoir vécu une année difficile. Mais s'agit-il d'une constatation ou d'un avertissement ? Un peu des deux...
"Je suis certain que nous verrons un grand Massa en 2011", a dit Domenicali. "Il sait qu'il ne peut se permettre une autre saison comme 2010."