Le président de la Fédération internationale de l'automobile veut codifier les consignes d'équipes pour en finir avec la mauvaise foi.
Jean Todt, président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), avait dénoncé "l'hypocrisie" des consignes d'équipe en Formule 1, après le traitement, le 8 septembre dernier, de l'affaire de l'inversion de positions des Ferrari de Felipe Massa et Fernando Alonso au Grand Prix d'Allemagne, le 25 juillet. Le Français de 64 ans, ex-directeur de Peugeot Sport en WRC et en Endurance, et de la Scuderia Ferrari en Formule 1, avait expliqué que les équipes procédaient à des ajustements hiérarchiques en piste, tout en s'en défendant.
"Les consignes d'équipe sont bannies depuis 2002, mais je me suis demandé : 'C ombien de fois les consignes d'équipe sont-elles passées dans un mode 'soft' depuis ' ? La différence est que Ferrari l'a fait d'une façon tout sauf 'soft'. C'était une provocation contre les règles", a-t-il déclaré, à La Stampa. Le 8 septembre, le Conseil mondial du Sport automobile n'avait retenu aucune preuve formelle de consigne de la part de l'équipe italienne à Hockenheim. Il avait mis l'inversion sur le compte d'une initiative personnelle du pilote brésilien, leader, informé qu'il était moins rapide que son équipier espagnol, alors 2e.
La lecture de l'événement que fait aujourd'hui l'Auvergnat contredit quelque peu la conclusion du Conseil mondial. Le président de l'instance de la place de la Concorde souhaite donc tourner la page, en introduisant des règles qui obligeront les équipes à expliciter leur stratégie afin d'éviter de mentir au public. "Ce sera contrôlé par les règles. La F1 est un sport d'équipe, chaque équipe engage sa responsabilité par son comportement. Les mensonges, ou les messages codes comme 'Economise de l'essence', ne seront plus tolérés", a-t-il prévenu.
La Commission F1 lui fera des propositions en ce sens le 9 décembre, en préambule au Conseil mondial de la FIA, à Monte-Carlo
Jean Todt, président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), avait dénoncé "l'hypocrisie" des consignes d'équipe en Formule 1, après le traitement, le 8 septembre dernier, de l'affaire de l'inversion de positions des Ferrari de Felipe Massa et Fernando Alonso au Grand Prix d'Allemagne, le 25 juillet. Le Français de 64 ans, ex-directeur de Peugeot Sport en WRC et en Endurance, et de la Scuderia Ferrari en Formule 1, avait expliqué que les équipes procédaient à des ajustements hiérarchiques en piste, tout en s'en défendant.
"Les consignes d'équipe sont bannies depuis 2002, mais je me suis demandé : 'C ombien de fois les consignes d'équipe sont-elles passées dans un mode 'soft' depuis ' ? La différence est que Ferrari l'a fait d'une façon tout sauf 'soft'. C'était une provocation contre les règles", a-t-il déclaré, à La Stampa. Le 8 septembre, le Conseil mondial du Sport automobile n'avait retenu aucune preuve formelle de consigne de la part de l'équipe italienne à Hockenheim. Il avait mis l'inversion sur le compte d'une initiative personnelle du pilote brésilien, leader, informé qu'il était moins rapide que son équipier espagnol, alors 2e.
La lecture de l'événement que fait aujourd'hui l'Auvergnat contredit quelque peu la conclusion du Conseil mondial. Le président de l'instance de la place de la Concorde souhaite donc tourner la page, en introduisant des règles qui obligeront les équipes à expliciter leur stratégie afin d'éviter de mentir au public. "Ce sera contrôlé par les règles. La F1 est un sport d'équipe, chaque équipe engage sa responsabilité par son comportement. Les mensonges, ou les messages codes comme 'Economise de l'essence', ne seront plus tolérés", a-t-il prévenu.
La Commission F1 lui fera des propositions en ce sens le 9 décembre, en préambule au Conseil mondial de la FIA, à Monte-Carlo