En Formule 1, la numérotation des pilotes change chaque année en fonction du résultat du championnat précédent. Le numéro 1 va logiquement au champion du monde et le numéro 2 à son équipier. Ensuite, c’est le classement des constructeurs qui décide de la numérotation des autres concurrents.
Ce système pourrait bien être changé à l’avenir. C’est du moins la volonté de Jean Todt, président de la FIA. Le Français aimerait attribuer un numéro permanent à chaque pilote afin de rendre leur identification plus simple.
"Comme en NASCAR, un pilote qui arrive en Formule 1 aurait un numéro qu’il garderait pour toute sa carrière. Vous pourriez identifier un pilote à son numéro. Pour le moment, vous ne trouvez pas ce numéro," explique Jean Todt au journal australien The Age.
L’idée a été proposée aux écuries mais n’a pas obtenu la majorité nécessaire. Malgré tout, le président de la FIA reste optimiste et espère bien pouvoir les convaincre du bien fondé de sa proposition.
"Vous avez besoin d’une base solide pour faire évoluer les choses. Vous devez avoir un minimum d’opinions positives au sein des équipes. Jusqu’à présent, malheureusement, elles ne sont pas intéressées, elles sont très contentes. Ça viendra, ça va changer."
Ce système pourrait bien être changé à l’avenir. C’est du moins la volonté de Jean Todt, président de la FIA. Le Français aimerait attribuer un numéro permanent à chaque pilote afin de rendre leur identification plus simple.
"Comme en NASCAR, un pilote qui arrive en Formule 1 aurait un numéro qu’il garderait pour toute sa carrière. Vous pourriez identifier un pilote à son numéro. Pour le moment, vous ne trouvez pas ce numéro," explique Jean Todt au journal australien The Age.
L’idée a été proposée aux écuries mais n’a pas obtenu la majorité nécessaire. Malgré tout, le président de la FIA reste optimiste et espère bien pouvoir les convaincre du bien fondé de sa proposition.
"Vous avez besoin d’une base solide pour faire évoluer les choses. Vous devez avoir un minimum d’opinions positives au sein des équipes. Jusqu’à présent, malheureusement, elles ne sont pas intéressées, elles sont très contentes. Ça viendra, ça va changer."