Le pilote de McLaren Mercedes à reçu une pénalité de 25 secondes pour avoir tirer un avantage en coupant la dernière chicane dans le but de doubler Kimi Raikkonen.
Première étape : Constatation des faits.
Hamilton était en lutte avec Raikkonen il fait l'extérieur et se retrouve côte à côte avec le champion du monde et se retrouve même un tout petit peu devant, Kimi conserve l'intérieur Lewis se retrouve en situation compliqué il décide de couper la chicane pour éviter tout accrochage.
Dans ce cas la réglementation impose de laisser repasser le pilote qui était devant lui et de n'en tirer aucun avantage.
Lewis à respecté un des points de cette réglementation. Il a laissé Raikkonen repasser devant lui, mais n'a pas réellement freiner... Il a juste ralenti suffisamment pour que Kimi passe devant lui afin de pouvoir profiter de l'aspiration de la Ferrari.
Une fois pris dans l'aspiration de la F2008, Lewis se retrouve avec une vitesse de pointe plus élevé que celle de Kimi et le déboite au virage de la source pour le dépasser.
En conclusion : Hamilton à tirer un avantage d'avoir coupé la chicane pour se placer la ou il le désirait vis à vis de Kimi. En effet, si il serait resté derrière Kimi à la chicane sans la couper, il n'aurait pas était aussi proche de Raikkonen pour tenter de le dépasser.
Deuxième étape : Que prévoit le règlement dans cette situation.
Le règlement prévoit un drive trought (passage obligatoire par la ligne droite des stands) pour le pilote incriminé. Mais dans le cas d'Hamilton, l'action a eu lieu dans les 5 derniers tours et elle fut donc jugée après la course.
Le règlement prévoit de mettre 25 secondes de pénalité dans le cas ou le pilote n'a pus recevoir un drive trought car la course était déjà finit.
Malheureusement pour Lewis, un drive trought coutait à Spa 17 secondes et non pas 25.
Troisième étape : La FIA avantage-t-elle Ferrari ?
C'est la question que beaucoup de gens se posent, et la réponse et clair. Non, Ferrari n'est pas avantagé loin de la.
A chaque fois que la Scuderia a eu des incidents c'étaient avec des Force India (Monaco pour Kimi et Valence pour Massa). Or on sait que Force India est lié à Ferrari pour les moteurs donc l'écurie indou ne demande aucune sanction à l'égard de Ferrari sachant que cette équipe ne joue pas les points.
Pourquoi Kimi n'a-t-il pas était arrêter à Magny Cours pour son échappement ?
Tout simplement car il ne s'agissait pas d'une faute de pilotage mais d'un problème technique.
Quatrième étape : La sanction d'Hamilton est-elle adaptée ?
La sanction de Lewis Hamilton n'est pas adapté puisque si il aurait reçu un stop and go durant la course il aurait finit deuxième et pas troisième. C'est donc une sanction mérité mais inadapté.
Le Britannique aurait du être classé deuxième., Massa était à 14,4 secondes et Heidfeld à plus de 17 secondes...
Cinquième étape : Les retombés dans le paddock.
Les retombes sont lourdes de conséquences. L'ambiance y est désormais plus tendue que jamais et les critiques vont de bon train.
Ralf Schumacher et Niki Lauda prennent la défense d'Hamilton, mais on n'oubliera pas que le frère de Michael court en DTM pour Mercedes.
Niki Lauda n'a quand à lui jamais aimé Ferrari donc rien de bien surprenant.
Quelques journalistes disent que Hamilton méritait une sanction mais qu'elle est disproportionnée. Jean Louis Moncet et Lionel Froissard pensent notamment que Lewis aurait du être classé 2 éme et non pas 3 éme en se basant sur l'analyse de la quatrième étape de cette enquête.
Enfin, dans ceux qui défendent Kimi, il y a en premier lieu Massa ainsi tout le staff Ferrari.
Sixième étape : L'appel de McLaren Mercedes.
McLaren Mercedes à fait appel de cette décision nuisant en bloc toutes accusation. Pourtant les faits sont la...
La FIA confirme avoir reçu l'appel de l'écurie de Woking cependant il semble que l'appel à été rejeté car ce genre de décision ne peut pas, d'après le règlement faire le cas d'un appel. En effet, toute décision de drive trought est appliqué directement et la sanction de Lewis n'est ni plus ni moins un drive trought non réalisé soit 25 secondes de pénalité.
Septième étape : Conclusion.
C'est donc la fin de cette enquête exclusive. Oui Lewis méritait bien une sanction, oui il ne méritait pas sa victoire, mais non il n'aurait pas dû être troisième mais deuxième.
La FIA n'a toujours pas donner de suite à l'appel, mais ne l'a pas refusé par un communiqué officiel non plus, cette affaire n'est donc pas forcément close.
Cette histoire fera sans doute couler encore beaucoup d'encre tout comme la Spy Story de l'an dernier.