Le président du British Racing Drivers Club et champion du monde 1996 Damon Hill fait part de sa vision de la F1 actuelle. Pour lui, si elle doit aller de l'avant, la série n°1 du sport automobile ne doit pas oublier son passé.
"Un équilibre doit être conservé", a déclaré le Britannique, qui est actuellement en Nouvelle-Zélande pour soutenir son fils Josh qui poursuit sa carrière de pilote en Toyota Racing Series aux antipodes. "Il ne faut pas oublier la tradition sur laquelle toute la discipline a été bâtie.
"Des lieux comme Monaco, Monza et Silverstone ont permis de fabriquer ce sport. Si vous perdez l'histoire, vous jouez tout sur les nouveaux territoires que vous tentez de conquérir. L'important est aussi de ne pas trop se reposer sur des choses extérieures mais que la course soit excitante."
Adélaïde 1994
Quant à la compétition actuelle, Hill a reconnu qu'il était "de plus en plus difficile de gagner". "Il y a dans le plateau actuel de plus en plus de très bons pilotes avec beaucoup d'expérience. Mais la F1 a aussi un besoin perpétuel de nouveaux talents."
Parmi les cinq champions du monde du plateau, record égalé, il y a une vieille connaissance de l'Anglais, Michael Schumacher, l'homme qui l'a empêché de remporter le titre en 1994, après un accrochage resté célèbre, à Adélaïde, dans le Grand Prix d'Australie.
Quelque quinze après, Hill n'a évidemment pas oublié cet épisode. "Je laisse les gens se forger leur propre jugement", dit-il. "Chacun verra cela comme il le voudra. C'était une grosse controverse."
Hill juge aussi que 1994 est la saison où il a piloté à son meilleur niveau. "Notamment au Japon cette année-là. J'avais gagné sur piste humide avec le plus grand engagement dont j'aie eu à faire preuve dans ma carrière."
Aujourd'hui, c'est auprès de son fils que le fils de Graham s'engage. Le jeune homme qui vient de fêter ses 20 ans vise lui aussi une place en F1, comme son père et son grand-père, tous deux champions du monde.
"Un équilibre doit être conservé", a déclaré le Britannique, qui est actuellement en Nouvelle-Zélande pour soutenir son fils Josh qui poursuit sa carrière de pilote en Toyota Racing Series aux antipodes. "Il ne faut pas oublier la tradition sur laquelle toute la discipline a été bâtie.
"Des lieux comme Monaco, Monza et Silverstone ont permis de fabriquer ce sport. Si vous perdez l'histoire, vous jouez tout sur les nouveaux territoires que vous tentez de conquérir. L'important est aussi de ne pas trop se reposer sur des choses extérieures mais que la course soit excitante."
Adélaïde 1994
Quant à la compétition actuelle, Hill a reconnu qu'il était "de plus en plus difficile de gagner". "Il y a dans le plateau actuel de plus en plus de très bons pilotes avec beaucoup d'expérience. Mais la F1 a aussi un besoin perpétuel de nouveaux talents."
Parmi les cinq champions du monde du plateau, record égalé, il y a une vieille connaissance de l'Anglais, Michael Schumacher, l'homme qui l'a empêché de remporter le titre en 1994, après un accrochage resté célèbre, à Adélaïde, dans le Grand Prix d'Australie.
Quelque quinze après, Hill n'a évidemment pas oublié cet épisode. "Je laisse les gens se forger leur propre jugement", dit-il. "Chacun verra cela comme il le voudra. C'était une grosse controverse."
Hill juge aussi que 1994 est la saison où il a piloté à son meilleur niveau. "Notamment au Japon cette année-là. J'avais gagné sur piste humide avec le plus grand engagement dont j'aie eu à faire preuve dans ma carrière."
Aujourd'hui, c'est auprès de son fils que le fils de Graham s'engage. Le jeune homme qui vient de fêter ses 20 ans vise lui aussi une place en F1, comme son père et son grand-père, tous deux champions du monde.
