Le patron de l'écurie Lotus Renault Éric Boullier n'est pas sûr de pouvoir utiliser le SREC lors des premiers essais hivernaux 2011, à Valence (1er-3 février). En revanche, il aura recours à des ingénieurs de Lotus et Proton dans les mois qui viennent.
Si la R31 fera bien ses débuts sur le tracé espagnol, son dirigeant français hésite sur l'utilisation du Système de récupération de l'énergie cinétique (SREC) de marque Magneti-Marelli qui devra être posé sur la voiture cette saison.
Lotus, plus qu'un sponsor
En revanche, Boullier a annoncé dans Autosprint que 25 ingénieurs seraient dépêchés auprès de l'équipe par Group Lotus et Proton dans le cadre d'un accord de deux ans.
Lotus, filiale de Proton, n'est pour l'instant que sponsor titre de l'écurie d'Enstone, selon Boullier. Cette relation serait appelée à évoluer sur le plan juridique mais aussi, on en a la preuve, sur le plan technique. Lotus, par ailleurs, n'exclut pas de fabriquer ses propres moteurs puis ses propres châssis de F1, selon une récente déclaration de son président Dany Bahar.
Si la R31 fera bien ses débuts sur le tracé espagnol, son dirigeant français hésite sur l'utilisation du Système de récupération de l'énergie cinétique (SREC) de marque Magneti-Marelli qui devra être posé sur la voiture cette saison.
Lotus, plus qu'un sponsor
En revanche, Boullier a annoncé dans Autosprint que 25 ingénieurs seraient dépêchés auprès de l'équipe par Group Lotus et Proton dans le cadre d'un accord de deux ans.
Lotus, filiale de Proton, n'est pour l'instant que sponsor titre de l'écurie d'Enstone, selon Boullier. Cette relation serait appelée à évoluer sur le plan juridique mais aussi, on en a la preuve, sur le plan technique. Lotus, par ailleurs, n'exclut pas de fabriquer ses propres moteurs puis ses propres châssis de F1, selon une récente déclaration de son président Dany Bahar.