Le président de la FIA Jean Todt ne reviendra pas en arrière sur le moteur 2013 malgré les plaintes répétées d'une écurie chère à son cœur, Ferrari.
Depuis qu'il a été annoncé qu'en 2013 le nombre de cylindres passera de 8 à 4 et que le moteur ne cubera plus que 1,6 litre, Ferrari a ouvert la boîte à critiques. Vendredi, lors de la présentation de la F150, le président de Ferrari Luca di Montezemolo a une nouvelle fois exhorté la F1 à "utiliser au moins un V6" dans deux ans, après avoir ouvertement lancé un appel à tous ceux qui souhaiteraient s'allier à lui pour faire retarder la mise en application du règlement 2013.
Ancien directeur de la Gestion sportive de Ferrari, Jean Todt n'a pas l'intention d'être de ceux-là. "Je pense que l'équipe Ferrari et les gens de Ferrari savaient à quoi s'attendre. Il y a toujours eu des discussions et Ferrari y a toujours participé", a déclaré le Français dans la presse allemande. De cela, Montezemolo a bien convenu récemment, saluant "le dialogue avec la FIA".
La sonorité des moteurs ? "Très excitante"
Ce dialogue se poursuit à l'heure actuelle en ce qui concerne le châssis. Mais pour ce qui est du moteur, Todt s'est montré ferme : "Tout a été décidé, c'est fait". "Cela n'a pas été décrété subitement. Les quatre cylindres, le turbo, la récupération d'énergie, tout cela est le fruit d'une longue réflexion menée avec des experts. Ce que je veux, ce sont des coûts plus faibles, du spectacle et l'arrivée de nouvelles technologies."
C'est que l'Auvergnat sent qu'il est de sa responsabilité de faire de la F1 une vitrine des technologies de demain. "C'est ce sur quoi s'appuient tous les grands constructeurs aujourd'hui'', justifie-t-il.
"Le bruit du moteur va changer car le monde change", répond-il aussi à ceux qui s'inquiètent de la sonorité des moteurs quatre cylindres par rapport à celle des V12, puis V10 et aujourd'hui V8. "Il ne faut pas agir seulement en fonction de ses émotions et savoir se montrer pragmatique. J'ai entendu les premières simulations et je trouve cela très agréable", positive Todt.
Depuis qu'il a été annoncé qu'en 2013 le nombre de cylindres passera de 8 à 4 et que le moteur ne cubera plus que 1,6 litre, Ferrari a ouvert la boîte à critiques. Vendredi, lors de la présentation de la F150, le président de Ferrari Luca di Montezemolo a une nouvelle fois exhorté la F1 à "utiliser au moins un V6" dans deux ans, après avoir ouvertement lancé un appel à tous ceux qui souhaiteraient s'allier à lui pour faire retarder la mise en application du règlement 2013.
Ancien directeur de la Gestion sportive de Ferrari, Jean Todt n'a pas l'intention d'être de ceux-là. "Je pense que l'équipe Ferrari et les gens de Ferrari savaient à quoi s'attendre. Il y a toujours eu des discussions et Ferrari y a toujours participé", a déclaré le Français dans la presse allemande. De cela, Montezemolo a bien convenu récemment, saluant "le dialogue avec la FIA".
La sonorité des moteurs ? "Très excitante"
Ce dialogue se poursuit à l'heure actuelle en ce qui concerne le châssis. Mais pour ce qui est du moteur, Todt s'est montré ferme : "Tout a été décidé, c'est fait". "Cela n'a pas été décrété subitement. Les quatre cylindres, le turbo, la récupération d'énergie, tout cela est le fruit d'une longue réflexion menée avec des experts. Ce que je veux, ce sont des coûts plus faibles, du spectacle et l'arrivée de nouvelles technologies."
C'est que l'Auvergnat sent qu'il est de sa responsabilité de faire de la F1 une vitrine des technologies de demain. "C'est ce sur quoi s'appuient tous les grands constructeurs aujourd'hui'', justifie-t-il.
"Le bruit du moteur va changer car le monde change", répond-il aussi à ceux qui s'inquiètent de la sonorité des moteurs quatre cylindres par rapport à celle des V12, puis V10 et aujourd'hui V8. "Il ne faut pas agir seulement en fonction de ses émotions et savoir se montrer pragmatique. J'ai entendu les premières simulations et je trouve cela très agréable", positive Todt.