Alors que Barcelone s'est porté naturellement candidat si les essais prévus du 3 au 6 mars à Bahreïn étaient annulés, le paddock pencherait plutôt pour Abou Dhabi.
"La Formule 1 est notre plus gros client", déclare le patron de la piste catalane Salvador Servia. "S'ils nous disent à quelle date ils veulent le circuit, nous pourrons nous adapter."
Les événements à Bahreïn devaient forcer lundi le pouvoir sportif à prendre une décision sur les essais de pré-saison devant avoir lieu sur le circuit de Sakhir.
Ascanelli : "Ce serait la logique"
"Nous avons besoin d'un temps chaud", a déclaré Adrian Newey, le directeur technique de Red Bull, dans l'O Estado de S.Paulo, le journal brésilien.
Steve Nielsen, l'ingénieur en chef de Renault, partage cet avis : "Je ne connais pas la situation exacte mais s'il s'avère que nous ne pouvons pas rouler à Bahreïn, Abou Dhabi serait la meilleure option."
"Ce serait le plus logique", selon Giorgio Ascanelli, le directeur technique de Toro Rosso. "Cela répondrait à nos besoins techniques et opérationnels, du fait de la proximité entre les deux destinations."
"La Formule 1 est notre plus gros client", déclare le patron de la piste catalane Salvador Servia. "S'ils nous disent à quelle date ils veulent le circuit, nous pourrons nous adapter."
Les événements à Bahreïn devaient forcer lundi le pouvoir sportif à prendre une décision sur les essais de pré-saison devant avoir lieu sur le circuit de Sakhir.
Ascanelli : "Ce serait la logique"
"Nous avons besoin d'un temps chaud", a déclaré Adrian Newey, le directeur technique de Red Bull, dans l'O Estado de S.Paulo, le journal brésilien.
Steve Nielsen, l'ingénieur en chef de Renault, partage cet avis : "Je ne connais pas la situation exacte mais s'il s'avère que nous ne pouvons pas rouler à Bahreïn, Abou Dhabi serait la meilleure option."
"Ce serait le plus logique", selon Giorgio Ascanelli, le directeur technique de Toro Rosso. "Cela répondrait à nos besoins techniques et opérationnels, du fait de la proximité entre les deux destinations."