Jean Todt et Bernie Ecclestone sont-ils en passe d’accorder leurs violons ? Hier, le président de la FIA affirmait son souhait de voir la Formule 1 rester encore longtemps dans les rues de Melbourne. Une position pas forcément partagée par le grand argentier de la discipline, tout du moins à l’origine...
Aujourd’hui, Ecclestone semble plus mesuré et reconnaît l’importance d’une épreuve comme celle disputée sur l’Albert Park. Toutefois, il explique qu’il ne veut pas forcer un pays à payer.
"L’Australie est tout aussi importante pour nous que Monaco, donc nous n’aimons pas penser à l’idée de perdre l’Australie. Nous sommes ensemble depuis longtemps et c’est comme tout mariage de longue durée : ce serait dommage de terminer par un divorce. Mais si c’est le souhait de nos partenaires, nous n’allons pas nous battre," a-t-il déclaré au journal britannique Herald Sun.
"Dans le cas de Melbourne, si le produit est trop cher pour eux alors nous pouvons le comprendre. Et lorsque le contrat arrive à son terme, il n’est pas nécessaire de le renouveler. Nous ne voulons pas forcer quelqu’un à acheter quelque chose qu’il ne veut pas."
Ecclestone a également expliqué qu’il regrettait de ne pas avoir incité Melbourne à construire un circuit permanent il y a dix ans car cela "aurait été moins cher qu’aujourd’hui". Il n’écarte cependant pas complètement cette hypothèse au-delà de 2015.
Aujourd’hui, Ecclestone semble plus mesuré et reconnaît l’importance d’une épreuve comme celle disputée sur l’Albert Park. Toutefois, il explique qu’il ne veut pas forcer un pays à payer.
"L’Australie est tout aussi importante pour nous que Monaco, donc nous n’aimons pas penser à l’idée de perdre l’Australie. Nous sommes ensemble depuis longtemps et c’est comme tout mariage de longue durée : ce serait dommage de terminer par un divorce. Mais si c’est le souhait de nos partenaires, nous n’allons pas nous battre," a-t-il déclaré au journal britannique Herald Sun.
"Dans le cas de Melbourne, si le produit est trop cher pour eux alors nous pouvons le comprendre. Et lorsque le contrat arrive à son terme, il n’est pas nécessaire de le renouveler. Nous ne voulons pas forcer quelqu’un à acheter quelque chose qu’il ne veut pas."
Ecclestone a également expliqué qu’il regrettait de ne pas avoir incité Melbourne à construire un circuit permanent il y a dix ans car cela "aurait été moins cher qu’aujourd’hui". Il n’écarte cependant pas complètement cette hypothèse au-delà de 2015.