Fernando Alonso a mis le feu aujourd’hui à Barcelone. En réalisant un départ somptueux, l’Espagnol a pris la tête de la course à la surprise de tous. Il a cependant rapidement dû faire face à l’infériorité de sa monoplace.
Après une vingtaine de tours en tête, il a perdu le contact avec Sebastian Vettel et Lewis Hamilton, avant de chausser un train de pneus durs qui lui a fait perdre une nouvelle position face à Mark Webber. Au final, son Grand Prix national s’est soldé par une cinquième place.
"Le meilleur moment de la course a évidemment été le départ. Nous avons beaucoup travaillé sur ce domaine et vous en voyez le résultat. C’était fantastique de voir la réaction des gens dans les tribunes ! J’ai tenté de faire le maximum, de maintenir les plus rapides derrière moi pendant une vingtaine de tours, mais après, je ne pouvais rien faire," a déclaré Alonso après la course.
"C’était stressant de vérifier mes rétroviseurs en permanence et j’ai fait de mon mieux pour copier ou anticiper leurs manœuvres. J’ai ensuite dû faire la moitié de la course en pneus durs, ce qui nous a vraiment pénalisés. Cela a rendu l’écart plus grand qu’il ne l’est en réalité. Nous manquons d’appui. Ici, nous n’avions pas d’aileron adapté à cette piste. Nous devons analyser avec attention toutes les modifications que nous avions pour ce Grand Prix et comprendre pourquoi, en deux semaines, nous avons perdu du terrain sur Red Bull et McLaren."
"A présent, nous allons immédiatement à Monaco pour une course spéciale du calendrier. Tout peut arriver là-bas. Évidemment nous savons que c’est le circuit où il faut le plus d’appui, mais c’était également le cas l’an dernier et nous étions rapides. Je n’abandonne vraiment pas le championnat après seulement cinq courses. L’écart est énorme au classement mais je suis certain que tout peut encore se produire."
www.toilef1.com
Après une vingtaine de tours en tête, il a perdu le contact avec Sebastian Vettel et Lewis Hamilton, avant de chausser un train de pneus durs qui lui a fait perdre une nouvelle position face à Mark Webber. Au final, son Grand Prix national s’est soldé par une cinquième place.
"Le meilleur moment de la course a évidemment été le départ. Nous avons beaucoup travaillé sur ce domaine et vous en voyez le résultat. C’était fantastique de voir la réaction des gens dans les tribunes ! J’ai tenté de faire le maximum, de maintenir les plus rapides derrière moi pendant une vingtaine de tours, mais après, je ne pouvais rien faire," a déclaré Alonso après la course.
"C’était stressant de vérifier mes rétroviseurs en permanence et j’ai fait de mon mieux pour copier ou anticiper leurs manœuvres. J’ai ensuite dû faire la moitié de la course en pneus durs, ce qui nous a vraiment pénalisés. Cela a rendu l’écart plus grand qu’il ne l’est en réalité. Nous manquons d’appui. Ici, nous n’avions pas d’aileron adapté à cette piste. Nous devons analyser avec attention toutes les modifications que nous avions pour ce Grand Prix et comprendre pourquoi, en deux semaines, nous avons perdu du terrain sur Red Bull et McLaren."
"A présent, nous allons immédiatement à Monaco pour une course spéciale du calendrier. Tout peut arriver là-bas. Évidemment nous savons que c’est le circuit où il faut le plus d’appui, mais c’était également le cas l’an dernier et nous étions rapides. Je n’abandonne vraiment pas le championnat après seulement cinq courses. L’écart est énorme au classement mais je suis certain que tout peut encore se produire."
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