Le débat fait rage depuis quelques semaines quant à l’utilisation du DRS à Monaco. Alors que la majeure partie des pilotes est opposée à ce que le système d’aileron arrière ajustable soit autorisé sur le mythique tracé urbain, la FIA n’a pas abondé dans ce sens.
Aucune modification de la règle n’a donc été envisagée. La zone d’activation du DRS sera très probablement définie dans la ligne droite des stands. Quant aux essais libres et qualifications, ils devraient se courir avec l’usage libre du système sur l’ensemble du circuit.
Toutefois, face aux craintes des pilotes concernant la sécurité, la FIA envisage d’interdire l’utilisation du DRS dans une zone bien précise durant les essais, à savoir le tunnel du circuit monégasque. Il s’agit là de la zone la plus rapide du circuit, où il n’existe aucun dégagement et qui débouche sur la chicane du port. Les accidents ne sont habituellement pas rares dans cette portion.
Directeur de course de la FIA, Charlie Whiting a ainsi confirmé que le DRS serait autorisé à Monaco mais a admis que des aménagements pourraient être apportés selon les circonstances.
"Si nous pensons qu’il y a un problème, alors nous pourrons stopper son utilisation. S’il y avait quelque chose qui fait que nous sentons un danger, alors nous l’arrêterons," a-t-il indiqué à Autosport.
www.toilef1.com
Aucune modification de la règle n’a donc été envisagée. La zone d’activation du DRS sera très probablement définie dans la ligne droite des stands. Quant aux essais libres et qualifications, ils devraient se courir avec l’usage libre du système sur l’ensemble du circuit.
Toutefois, face aux craintes des pilotes concernant la sécurité, la FIA envisage d’interdire l’utilisation du DRS dans une zone bien précise durant les essais, à savoir le tunnel du circuit monégasque. Il s’agit là de la zone la plus rapide du circuit, où il n’existe aucun dégagement et qui débouche sur la chicane du port. Les accidents ne sont habituellement pas rares dans cette portion.
Directeur de course de la FIA, Charlie Whiting a ainsi confirmé que le DRS serait autorisé à Monaco mais a admis que des aménagements pourraient être apportés selon les circonstances.
"Si nous pensons qu’il y a un problème, alors nous pourrons stopper son utilisation. S’il y avait quelque chose qui fait que nous sentons un danger, alors nous l’arrêterons," a-t-il indiqué à Autosport.
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