Malheureux lors des deux dernières courses alors que deux bons résultats lui tendaient les bras, Sébastien Bourdais (Toro Rosso) garde le moral mais aimerait enfin voir la chance lui sourire avant le Grand Prix de Singapour de Formule 1, ce week-end.
"J'aimerais bien avoir un peu de réussite aussi pour partager avec l'équipe", rêve ainsi le Français, scotché sur la ligne de départ il y a deux semaines à Monza en raison d'un problème technique alors qu'il occupait la quatrième place sur la grille.
Son coéquipier Sebastian Vettel avait remporté la course.
"C'est sûr que ça fait ch..., il y avait deux beaux résultats à portée de main et on peut dire qu'il y en a un et demi qui a été anéanti" regrette-t-il avec son franc-parler habituel.
Un coup de pouce du destin serait d'autant plus appréciable que le Manceau avoue n'avoir aucune nouvelle quant à son avenir en Formule 1. Son équipe avait laissé entendre qu'elle lui laissait jusqu'à la fin septembre pour faire ses preuves mais après deux bonnes courses pas récompensées la date butoir a été repoussée de manière indéterminée.
"Pour l'instant il n'y a pas de vraie date limite de leur côté", indique-t-il. "Pour la saison prochaine, pour le moment je suis un pilote libre, sans volant. Mais il faut aussi prendre ses responsabilités et si je n'ai pas de nouveau dans les semaines à venir ce sera à moi de prendre mes responsabilités."
Bourdais aimerait ainsi en savoir plus d'ici la mi-octobre, histoire de prospecter par ailleurs si besoin.
"Ce n'est pas ma carrière qui est en jeu, mais c'est mon avenir en Formule 1", précise-t-il.
En attendant le Français aborde le premier Grand Prix de nuit sans crainte, lui qui a déjà piloté plusieurs fois dans ces conditions.
"J'ai disputé cinq courses nocturnes en ChampCar et je n'ai jamais eu de problèmes alors qu'on était loin d'avoir un si bon éclairage qu'ici", rappelle-t-il. "On est encore plus loin des conditions des 24 Heures du Mans où on a de longues périodes dans le noir absolu, avec seulement la lumière de la voiture."
"Le circuit est assez technique avec beaucoup de virages en deuxième ou troisième vitesse, ça va mettre les pneus à rude épreuve et ce n'est pas forcément très bon pour nous", ajoute-t-il. "Mais l'éclairage est irréprochable et le système d'évacuation des eaux est sans doute le plus performant que j'aie jamais vu."
Bourdais aimerait bien encore un peu de pluie, ce qui rend sa Toro Rosso plus efficace selon lui. "En même temps par ici ce n'est pas la pluie fine qu'on connaît chez nous, c'est tout de suite des trombes d'eau", regrette-t-il. "Donc s'il pleut il risque de ne pas y avoir de show du tout..."
"J'aimerais bien avoir un peu de réussite aussi pour partager avec l'équipe", rêve ainsi le Français, scotché sur la ligne de départ il y a deux semaines à Monza en raison d'un problème technique alors qu'il occupait la quatrième place sur la grille.
Son coéquipier Sebastian Vettel avait remporté la course.
"C'est sûr que ça fait ch..., il y avait deux beaux résultats à portée de main et on peut dire qu'il y en a un et demi qui a été anéanti" regrette-t-il avec son franc-parler habituel.
Un coup de pouce du destin serait d'autant plus appréciable que le Manceau avoue n'avoir aucune nouvelle quant à son avenir en Formule 1. Son équipe avait laissé entendre qu'elle lui laissait jusqu'à la fin septembre pour faire ses preuves mais après deux bonnes courses pas récompensées la date butoir a été repoussée de manière indéterminée.
"Pour l'instant il n'y a pas de vraie date limite de leur côté", indique-t-il. "Pour la saison prochaine, pour le moment je suis un pilote libre, sans volant. Mais il faut aussi prendre ses responsabilités et si je n'ai pas de nouveau dans les semaines à venir ce sera à moi de prendre mes responsabilités."
Bourdais aimerait ainsi en savoir plus d'ici la mi-octobre, histoire de prospecter par ailleurs si besoin.
"Ce n'est pas ma carrière qui est en jeu, mais c'est mon avenir en Formule 1", précise-t-il.
En attendant le Français aborde le premier Grand Prix de nuit sans crainte, lui qui a déjà piloté plusieurs fois dans ces conditions.
"J'ai disputé cinq courses nocturnes en ChampCar et je n'ai jamais eu de problèmes alors qu'on était loin d'avoir un si bon éclairage qu'ici", rappelle-t-il. "On est encore plus loin des conditions des 24 Heures du Mans où on a de longues périodes dans le noir absolu, avec seulement la lumière de la voiture."
"Le circuit est assez technique avec beaucoup de virages en deuxième ou troisième vitesse, ça va mettre les pneus à rude épreuve et ce n'est pas forcément très bon pour nous", ajoute-t-il. "Mais l'éclairage est irréprochable et le système d'évacuation des eaux est sans doute le plus performant que j'aie jamais vu."
Bourdais aimerait bien encore un peu de pluie, ce qui rend sa Toro Rosso plus efficace selon lui. "En même temps par ici ce n'est pas la pluie fine qu'on connaît chez nous, c'est tout de suite des trombes d'eau", regrette-t-il. "Donc s'il pleut il risque de ne pas y avoir de show du tout..."
