L’équipe Red Bull rencontre des problèmes avec son système KERS, alors que BMW Sauber a déjà effectué des essais concluants.
A partir de l’an prochain, les équipes pourront utiliser un système KERS, qui permet la récupération de l’énergie cinétique générée lors des freinages. Cette énergie sera ensuite stockée dans une batterie et les pilotes pourront s’en servir pour obtenir un gain de puissance en appuyant sur un bouton.
Toutes les écuries développent ce système et certaines ont commencé leurs premiers essais. Pour Red Bull, qui a tenté une simulation à son usine de Milton Keynes, cela s’est mal passé...
« Pour l’an prochain, nous allons introduire des batteries dans les voitures, qui sont à très haute tension, des pièces de haute technologie. En fait, nous avons eu une batterie qui a eu un problème dans un environnement contrôlé, » a révélé Christian Horner, le patron de l’équipe à Autosport.com.
« Elle était dans un environnement chimique, avec des précautions de sécurité pour la refroidir, parce qu’il y a beaucoup de vapeur et malheureusement l’usine a eu des perturbations pendant deux heures parce que les pompiers ont dû intervenir pour enlever la fumée. Ce n’était pas un gros incident et ce n’était pas dangereux, mais nous avons du prendre nos précautions. »
Autosport.com révèle également BMW Sauber a déjà effectué un premier essai de 50km sur le circuit de Miramas, qui s’est beaucoup mieux passé : « C’était le tout premier test dans la voiture et dans l’ensemble nous sommes très heureux depuis que les fonctions de base du système sont en place, » a confié Willy Rampf, le directeur technique de l’équipe, au site internet anglais.
Le système KERS est le premier dispositif mis en place en Formule 1 qui permet le développement d’une technologie permettant de réduire la consommation et les émissions de gaz à effet de serre. La FIA espère que les travaux des équipes pourront être transférés vers l’automobile de série.
A partir de l’an prochain, les équipes pourront utiliser un système KERS, qui permet la récupération de l’énergie cinétique générée lors des freinages. Cette énergie sera ensuite stockée dans une batterie et les pilotes pourront s’en servir pour obtenir un gain de puissance en appuyant sur un bouton.
Toutes les écuries développent ce système et certaines ont commencé leurs premiers essais. Pour Red Bull, qui a tenté une simulation à son usine de Milton Keynes, cela s’est mal passé...
« Pour l’an prochain, nous allons introduire des batteries dans les voitures, qui sont à très haute tension, des pièces de haute technologie. En fait, nous avons eu une batterie qui a eu un problème dans un environnement contrôlé, » a révélé Christian Horner, le patron de l’équipe à Autosport.com.
« Elle était dans un environnement chimique, avec des précautions de sécurité pour la refroidir, parce qu’il y a beaucoup de vapeur et malheureusement l’usine a eu des perturbations pendant deux heures parce que les pompiers ont dû intervenir pour enlever la fumée. Ce n’était pas un gros incident et ce n’était pas dangereux, mais nous avons du prendre nos précautions. »
Autosport.com révèle également BMW Sauber a déjà effectué un premier essai de 50km sur le circuit de Miramas, qui s’est beaucoup mieux passé : « C’était le tout premier test dans la voiture et dans l’ensemble nous sommes très heureux depuis que les fonctions de base du système sont en place, » a confié Willy Rampf, le directeur technique de l’équipe, au site internet anglais.
Le système KERS est le premier dispositif mis en place en Formule 1 qui permet le développement d’une technologie permettant de réduire la consommation et les émissions de gaz à effet de serre. La FIA espère que les travaux des équipes pourront être transférés vers l’automobile de série.