Seulement trois voitures ont utilisé le système d'alimentation KERS en qualification samedi, à Shanghai. De plus en plus d'équipes se questionnent sur l'efficacité, la sécurité et la fiabilité de cette technologie.
Déçues, plusieurs espère qu'un système standardisé sera instauré afin de permettre à toutes les équipes de collaborer à sa création, le coût de développement de cette technologie étant astronomique.
Mais Max Mosley, le président de la FIA, ne veut pas de ce procédé « standardisé », préférant une « guerre du KERS » comme l'indique au Red Bulletin le directeur technique Williams Sam Michael.
Ultimement toutefois, l'usage du KERS est sur une base volontaire, ce qui veut dire que les équipes de la FOTA pourraient développer un système standardisé si tous acceptent l'idée.
Toutefois, tout porte à croire que Williams, par exemple, ne serait pas chaude à cette idée, une équipe de dix ingénieurs travaillant exclusivement sur un système KERS unique à Grove.
Déçues, plusieurs espère qu'un système standardisé sera instauré afin de permettre à toutes les équipes de collaborer à sa création, le coût de développement de cette technologie étant astronomique.
Mais Max Mosley, le président de la FIA, ne veut pas de ce procédé « standardisé », préférant une « guerre du KERS » comme l'indique au Red Bulletin le directeur technique Williams Sam Michael.
Ultimement toutefois, l'usage du KERS est sur une base volontaire, ce qui veut dire que les équipes de la FOTA pourraient développer un système standardisé si tous acceptent l'idée.
Toutefois, tout porte à croire que Williams, par exemple, ne serait pas chaude à cette idée, une équipe de dix ingénieurs travaillant exclusivement sur un système KERS unique à Grove.