Lewis Hamilton n'est pas aimé dans le paddock, c'est une évidence à la vue du feu nourri qu'il a subi avant le Grand Prix de Chine.
En réponse aux attaques de Alonso et Kubica, Lewis Hamilton a riposté :
Pour Alonso « Il était double champion du monde quand il est arrivé dans le team et il s'est fait battre par un rookie. Ça veut tout dire. Quand quelqu'un gagne, qu'un nouveau débarque et qu'il se met à faire mieux, forcément ça ne fait pas que des heureux. »
Concernant la paire Alonso-Kubica : « Je ne joue pas au poker. Certains pilotes aiment se réunir. Moi, je suis là pour la course. Mon impopularité auprès des autres pilotes n'est que la conséquence de mes succès. Quand vous gagnez et que tout va bien pour vous, c'est le jeu habituel. Je ne m'intéresse pas à ces tentatives de déstabilisation psychologique. »
On à connu d'autre rivalité par le passé qui etait du même genre, Prost-Senna, Hill-Schumacher, Schumacher-Villeneuve...
Reste que si ce petit jeu qui consiste à critiquer durement l'adversaire pour lui faire perdre son calme ne touche pas Lewis Hamilton, tout le monde se rappellera le GP du Bresil 2007 ou comment, en voulant repasser Alonso par pure fierté, il était parti à la faute se mettant en position de tout perdre.
L'ennemi d'Hamilton n'est ni Massa, ni Kubica et encore moins Alonso, son pire ennemi c'est lui même. La pression sera grande au Brésil...
En réponse aux attaques de Alonso et Kubica, Lewis Hamilton a riposté :
Pour Alonso « Il était double champion du monde quand il est arrivé dans le team et il s'est fait battre par un rookie. Ça veut tout dire. Quand quelqu'un gagne, qu'un nouveau débarque et qu'il se met à faire mieux, forcément ça ne fait pas que des heureux. »
Concernant la paire Alonso-Kubica : « Je ne joue pas au poker. Certains pilotes aiment se réunir. Moi, je suis là pour la course. Mon impopularité auprès des autres pilotes n'est que la conséquence de mes succès. Quand vous gagnez et que tout va bien pour vous, c'est le jeu habituel. Je ne m'intéresse pas à ces tentatives de déstabilisation psychologique. »
On à connu d'autre rivalité par le passé qui etait du même genre, Prost-Senna, Hill-Schumacher, Schumacher-Villeneuve...
Reste que si ce petit jeu qui consiste à critiquer durement l'adversaire pour lui faire perdre son calme ne touche pas Lewis Hamilton, tout le monde se rappellera le GP du Bresil 2007 ou comment, en voulant repasser Alonso par pure fierté, il était parti à la faute se mettant en position de tout perdre.
L'ennemi d'Hamilton n'est ni Massa, ni Kubica et encore moins Alonso, son pire ennemi c'est lui même. La pression sera grande au Brésil...