Nico Rosberg a réaffirmé à Montréal qu'il a été agréablement surpris par les bonnes relations qu'il entretient avec Michael Schumacher.
"J'ai entendu beaucoup de mauvaises choses", a déclaré le pilote Mercedes en marge d'une conférence à l'école Pierre-Dupuy, à Montréal. "Avant de commencer à travailler avec lui, tout le monde disait, 'Ah, fais gaffe, c'est la catastrophe de travailler avec lui, il est très mauvais' et tout ça. Mais moi, je n'ai rien de négatif à dire. On se respecte, on partage même les informations et tout ça, ça se passe bien."
Oubliée la polémique sur le changement de numéro cet hiver, oublié le conseil de Rubens Barrichello qui suggérait au jeune Allemand sur une ton mi-humoristique mi-sérieux de rapidement quitter le navire.
"C'est une chance que j'ai de l'avoir comme coéquipier", a ajouté Rosberg. "C'est toujours intéressant parce qu'il est l'un des meilleurs de tous les temps. Il y a toujours des petites choses ici et là que tu peux apprendre."
À l'instar de nombreux pilotes, Rosberg a hâte de se retrouver dans l'ambiance de Montréal même s'il se méfie du circuit : "Il faut faire gaffe parce qu'il y a eu des améliorations chaque année, et chaque année, c'était une catastrophe. Ces dernières années, ils avaient toujours dit que ça tiendrait et ça n'avait pas été le cas".
"Mais je suis confiant quand même. J'ai parlé avec les responsables de la FIA et ils nous ont dit que cette fois-ci, ça va être 'le top'. La FIA a dit avoir apporté une attention spéciale, alors ça devrait être bien."
Pour dimanche, il vise le podium : "Moi, je suis prêt ! Ça pourrait arriver ce week-end (sa première victoire en F1), mais c'est pas évident. Les Red Bull, ça marche fort, donc il faut quand même qu'on améliore un peu la voiture. Sauf que si on a beaucoup de chance, ça pourrait tout de même arriver très bientôt".
"J'ai entendu beaucoup de mauvaises choses", a déclaré le pilote Mercedes en marge d'une conférence à l'école Pierre-Dupuy, à Montréal. "Avant de commencer à travailler avec lui, tout le monde disait, 'Ah, fais gaffe, c'est la catastrophe de travailler avec lui, il est très mauvais' et tout ça. Mais moi, je n'ai rien de négatif à dire. On se respecte, on partage même les informations et tout ça, ça se passe bien."
Oubliée la polémique sur le changement de numéro cet hiver, oublié le conseil de Rubens Barrichello qui suggérait au jeune Allemand sur une ton mi-humoristique mi-sérieux de rapidement quitter le navire.
"C'est une chance que j'ai de l'avoir comme coéquipier", a ajouté Rosberg. "C'est toujours intéressant parce qu'il est l'un des meilleurs de tous les temps. Il y a toujours des petites choses ici et là que tu peux apprendre."
À l'instar de nombreux pilotes, Rosberg a hâte de se retrouver dans l'ambiance de Montréal même s'il se méfie du circuit : "Il faut faire gaffe parce qu'il y a eu des améliorations chaque année, et chaque année, c'était une catastrophe. Ces dernières années, ils avaient toujours dit que ça tiendrait et ça n'avait pas été le cas".
"Mais je suis confiant quand même. J'ai parlé avec les responsables de la FIA et ils nous ont dit que cette fois-ci, ça va être 'le top'. La FIA a dit avoir apporté une attention spéciale, alors ça devrait être bien."
Pour dimanche, il vise le podium : "Moi, je suis prêt ! Ça pourrait arriver ce week-end (sa première victoire en F1), mais c'est pas évident. Les Red Bull, ça marche fort, donc il faut quand même qu'on améliore un peu la voiture. Sauf que si on a beaucoup de chance, ça pourrait tout de même arriver très bientôt".