Ce week-end, à l’occasion du Grand Prix de Bahreïn, Robert Kubica devrait utiliser le système KERS pour la première fois de la saison en course. Jusqu’à présent, la monoplace du polonais ne l’a arboré qu’à l’occasion des essais libres du vendredi du Grand Prix de Chine.
Cela peut en effet se comprendre très facilement. L’une des règles de base lorsque l’on travaille en Formule 1, c’est de concevoir une voiture la plus légère possible. Ensuite, pour atteindre la masse minimale exigée par le règlement, on utilise des lests que l’on répartit sous la voiture de manière à modifier son équilibre.
En ajoutant le KERS dans la voiture, dont la masse avoisine les 30 kg, on dispose d’autant de lest en moins à disposer à sa guise sous la voiture. Ce qui réduit nettement les possibilités de réglage du châssis.
Pour poursuivre le raisonnement, il faut considérer le cas des pilotes. En général, les deux pilotes d’une même écurie ne font pas le même poids. Et, vous l’aurez compris, le pilote le plus lourd se retrouve forcément désavantagé vis-à-vis du système de lest.
C’est encore plus vrai chez BMW puisque Kubica est l’un des pilotes les plus lourds quand Nick Heidfeld fait partie des plus légers. Voici la raison pour laquelle l’allemand a utilisé le KERS en ce début de saison et pas son coéquipier.
En attendant de disposer d’une F1.09 allégée, BMW analyse chaque circuit l’un après l’autre pour déterminer si oui ou non, Kubica pourra tirer un avantage de l’utilisation du KERS. Et comme il semblerait que ce soit le cas à Bahreïn, le natif de Cracovie devrait pouvoir du surplus de puissance qu’apporte ce système.
Cela peut en effet se comprendre très facilement. L’une des règles de base lorsque l’on travaille en Formule 1, c’est de concevoir une voiture la plus légère possible. Ensuite, pour atteindre la masse minimale exigée par le règlement, on utilise des lests que l’on répartit sous la voiture de manière à modifier son équilibre.
En ajoutant le KERS dans la voiture, dont la masse avoisine les 30 kg, on dispose d’autant de lest en moins à disposer à sa guise sous la voiture. Ce qui réduit nettement les possibilités de réglage du châssis.
Pour poursuivre le raisonnement, il faut considérer le cas des pilotes. En général, les deux pilotes d’une même écurie ne font pas le même poids. Et, vous l’aurez compris, le pilote le plus lourd se retrouve forcément désavantagé vis-à-vis du système de lest.
C’est encore plus vrai chez BMW puisque Kubica est l’un des pilotes les plus lourds quand Nick Heidfeld fait partie des plus légers. Voici la raison pour laquelle l’allemand a utilisé le KERS en ce début de saison et pas son coéquipier.
En attendant de disposer d’une F1.09 allégée, BMW analyse chaque circuit l’un après l’autre pour déterminer si oui ou non, Kubica pourra tirer un avantage de l’utilisation du KERS. Et comme il semblerait que ce soit le cas à Bahreïn, le natif de Cracovie devrait pouvoir du surplus de puissance qu’apporte ce système.