Yann Arthus-Bertrand demande l'abandon "au plus vite" du projet de circuit de F1 à Flins (Yvelines) dans une lettre ouverte adressée à Christine Boutin, présidente par intérim du conseil général des Yvelines, et qu'il cosigne avec d'autres défenseurs de l'environnement.
Hélène Danel, présidente de Flins sans Circuit F1, Marc Barrier, président de la fédération des syndicats d'exploitants agricoles d'Ile-de-France, Damien Bignon, président du Groupement des agriculteurs Bio d'Ile-de-France, Pascal Husting directeur général de Greenpeace France et Serge Orru, directeur général du WWF-France, sont les autres cosignataires.
"Le coût de ce projet est exorbitant au regard de la biodiversité, de la ressource en eau potable, de l'agriculture biologique de proximité et plus généralement du climat. Il n'apporte pas non plus de réponses satisfaisantes en termes d'emplois et de développement économique", dénoncent les signataires dans la lettre.
"Au final, d'un point de vue environnemental, ce projet apparaît comme la quintessence des projets auxquels l'esprit du Grenelle de l'Environnement était supposé mettre un terme", ajoutent les cosignataires.
Ils demandent au conseil général "d'abandonner ce projet au plus vite et (de) rendre ces terres à l'agriculture biologique de proximité qui manque cruellement en Ile-de-France".
"Nous n'avons plus le temps d'être pessimistes. Nous vous demandons d'agir et d'agir vite", concluent les opposants au circuit F1.
Hélène Danel, présidente de Flins sans Circuit F1, Marc Barrier, président de la fédération des syndicats d'exploitants agricoles d'Ile-de-France, Damien Bignon, président du Groupement des agriculteurs Bio d'Ile-de-France, Pascal Husting directeur général de Greenpeace France et Serge Orru, directeur général du WWF-France, sont les autres cosignataires.
"Le coût de ce projet est exorbitant au regard de la biodiversité, de la ressource en eau potable, de l'agriculture biologique de proximité et plus généralement du climat. Il n'apporte pas non plus de réponses satisfaisantes en termes d'emplois et de développement économique", dénoncent les signataires dans la lettre.
"Au final, d'un point de vue environnemental, ce projet apparaît comme la quintessence des projets auxquels l'esprit du Grenelle de l'Environnement était supposé mettre un terme", ajoutent les cosignataires.
Ils demandent au conseil général "d'abandonner ce projet au plus vite et (de) rendre ces terres à l'agriculture biologique de proximité qui manque cruellement en Ile-de-France".
"Nous n'avons plus le temps d'être pessimistes. Nous vous demandons d'agir et d'agir vite", concluent les opposants au circuit F1.