Quand il s’agit de sécurité, surtout au lendemain d’un grave accident, la FIA ne fait pas les choses à moitié.
Après l’incident survenu sur la monoplace de Fernando Alonso, lorsque le pilote espagnol a perdu une roue en raison d’un écrou mal vissé, les commissaires ont infligé un Grand prix de suspension à l’écurie Renault.
Selon eux, la marque française a gravement enfreint le règlement. Renault sera donc privé du Grand Prix d’Europe, ce qui signifie que Fernando Alonso manquera sa course à domicile.
Dans un communiqué publié après la course, les commissaires précisent que Renault a "sciemment libéré la voiture n°7 de sa position lors du ravitaillement alors qu’un des dispositifs qui tient la roue n’était pas solidement positionné, ce qui signifie que la roue elle-même n’était pas correctement installée."
"En étant conscient de cela, Renault n’a pris aucune mesure pour empêcher la voiture de quitter la pitlane, n’a pas prévenu le pilote de ce problème ou ne lui a pas conseillé de prendre une mesure appropriée au vu des circonstances, même si le pilote a contacté l’équipe par radio en croyant qu’il avait une crevaison."
Par conséquent, l’écurie Renault a enfreint l’article 3.2 du règlement sportif et l’article 23.1.I, qui stipule que tout doit être sécurisé avant qu’une équipe ne puisse permettre à une monoplace de quitter les stands.
Renault a le droit de faire appel de cette sanction.
Après l’incident survenu sur la monoplace de Fernando Alonso, lorsque le pilote espagnol a perdu une roue en raison d’un écrou mal vissé, les commissaires ont infligé un Grand prix de suspension à l’écurie Renault.
Selon eux, la marque française a gravement enfreint le règlement. Renault sera donc privé du Grand Prix d’Europe, ce qui signifie que Fernando Alonso manquera sa course à domicile.
Dans un communiqué publié après la course, les commissaires précisent que Renault a "sciemment libéré la voiture n°7 de sa position lors du ravitaillement alors qu’un des dispositifs qui tient la roue n’était pas solidement positionné, ce qui signifie que la roue elle-même n’était pas correctement installée."
"En étant conscient de cela, Renault n’a pris aucune mesure pour empêcher la voiture de quitter la pitlane, n’a pas prévenu le pilote de ce problème ou ne lui a pas conseillé de prendre une mesure appropriée au vu des circonstances, même si le pilote a contacté l’équipe par radio en croyant qu’il avait une crevaison."
Par conséquent, l’écurie Renault a enfreint l’article 3.2 du règlement sportif et l’article 23.1.I, qui stipule que tout doit être sécurisé avant qu’une équipe ne puisse permettre à une monoplace de quitter les stands.
Renault a le droit de faire appel de cette sanction.