A quelques jours de la réunion du Conseil Mondial du Sport Automobile, lundi 21 septembre, à Paris, devant lequel l'écurie Renault doit comparaitre pour reconnaître sa culpabilité dans le scandale du Grand Prix de Singapour 2008, la FIA a blanchi Fernando Alonso de toute implication, bien que le pilote espagnol fasse l'objet de certaines interrogations.
Il y a quelques jours, Nelson Piquet Sr affirmait, dans les colonnes du journal espagnol Diario Sport qu'il avait du mal à croire en l'innocence du double champion du monde espagnol : « Fernando savait tout. Il ne pouvait pas l'ignorer. Si vous êtes 15ème sur la grille sur un circuit urbain, il n'y a aucune raison de s'élancer avec peu d'essence. Au mieux vous passerez trois voitures et après votre dernier arrêt, vous resterez où vous êtes. C'est une stratégie insensée. »
D'ailleurs, un enregistrement vidéo réalisé juste avant que l'espagnol ne monte sur le podium, montre ce dernier en compagnie de Flavio Briatore impliqué dans une conversation que le manager italien semblait vouloir entretenir en dehors des caméras.
Interrogé par la presse à Monza, l'espagnol avait fermement nié toute implication, se déclarant surpris : « Je n'arrive pas à imaginer cette situation, donc comme je l'ai dit, je suis surpris. »
Le Times rapporte cependant que la FIA ne convoquera pas le pilote Renault à la réunion du Conseil Mondial du 21 septembre, le blanchissant ainsi de toute accusation. Les autorités jugent en effet qu'il n'y a aucune preuve suggérant que le pilote avait menti dans ses dénégations. Le quotidien britannique révèle d'ailleurs que, lors de son interrogatoire pendant le Grand Prix de Belgique, le pilote espagnol se serait montré ferme, confiant et serein et que sa prestation était celle d'un homme sûr de sa bonne foi.
Les commissaires admettent donc l'axe de défense de l'espagnol qui affirme avoir laissé la direction de sa stratégie aux ingénieurs et à Pat Symonds et que, réaliser un premier relais court, était une tentative de prendre à contrepied les stratégies des voitures autour de lui.
Nelson Piquet Sr avait d'ailleurs nuancé son jugement dans les colonnes d'Auto Motor und Sport en précisant que, de son point de vue, un pilote intelligent, comme l'est Alonso, ne pouvait pas ne pas savoir.
Bien qu'innocenté, ce n'est pas la première fois que le nom de l'espagnol est cité dans un scandale d'une telle ampleur puisqu'en 2007, Fernando Alonso avait déjà joué un rôle prépondérant dans l'affaire d'espionnage impliquant McLaren et il avait reçu de la part de la FIA l'immunité en échange de son témoignage.
Il y a quelques jours, Nelson Piquet Sr affirmait, dans les colonnes du journal espagnol Diario Sport qu'il avait du mal à croire en l'innocence du double champion du monde espagnol : « Fernando savait tout. Il ne pouvait pas l'ignorer. Si vous êtes 15ème sur la grille sur un circuit urbain, il n'y a aucune raison de s'élancer avec peu d'essence. Au mieux vous passerez trois voitures et après votre dernier arrêt, vous resterez où vous êtes. C'est une stratégie insensée. »
D'ailleurs, un enregistrement vidéo réalisé juste avant que l'espagnol ne monte sur le podium, montre ce dernier en compagnie de Flavio Briatore impliqué dans une conversation que le manager italien semblait vouloir entretenir en dehors des caméras.
Interrogé par la presse à Monza, l'espagnol avait fermement nié toute implication, se déclarant surpris : « Je n'arrive pas à imaginer cette situation, donc comme je l'ai dit, je suis surpris. »
Le Times rapporte cependant que la FIA ne convoquera pas le pilote Renault à la réunion du Conseil Mondial du 21 septembre, le blanchissant ainsi de toute accusation. Les autorités jugent en effet qu'il n'y a aucune preuve suggérant que le pilote avait menti dans ses dénégations. Le quotidien britannique révèle d'ailleurs que, lors de son interrogatoire pendant le Grand Prix de Belgique, le pilote espagnol se serait montré ferme, confiant et serein et que sa prestation était celle d'un homme sûr de sa bonne foi.
Les commissaires admettent donc l'axe de défense de l'espagnol qui affirme avoir laissé la direction de sa stratégie aux ingénieurs et à Pat Symonds et que, réaliser un premier relais court, était une tentative de prendre à contrepied les stratégies des voitures autour de lui.
Nelson Piquet Sr avait d'ailleurs nuancé son jugement dans les colonnes d'Auto Motor und Sport en précisant que, de son point de vue, un pilote intelligent, comme l'est Alonso, ne pouvait pas ne pas savoir.
Bien qu'innocenté, ce n'est pas la première fois que le nom de l'espagnol est cité dans un scandale d'une telle ampleur puisqu'en 2007, Fernando Alonso avait déjà joué un rôle prépondérant dans l'affaire d'espionnage impliquant McLaren et il avait reçu de la part de la FIA l'immunité en échange de son témoignage.